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Raphinha signe un autre triomphe angoissant pour le Barça

Raphinha signe un autre triomphe angoissant pour le Barça

Parmi les 13 matchs remportés par le minimum, peu ont été aussi angoissants que le dixième 1-0 de la saison sur Valence. Un penalty manqué qui pourrait mettre fin au match avant l’heure, un deuxième tir au poteau (les boiseries ont gâché les tirs de Ferran et Ansu Fati, dans cet ordre), et l’expulsion de Ronald Araujo A une demi-heure de la fin, il a teint le dénouement de la rencontre avec du drame.

Le Barça a enfin appris à défendre, comme on l’a vu à Madrid, dépouillé de force et par conviction de gourmandises et évité un signe de faiblesse au tableau d’affichage cela favoriserait la méfiance perçue au retour d’Almería.

On ne pouvait pas s’attendre à une amélioration substantielle au Barça alors que le nombre de victimes lors des derniers matchs avait augmenté. Le révolutionnaire Gavi était assis dans les tribunes avec Pedri, Lewandowski et Dembélé. Si l’éclat et la grâce manquaient à Almería et à Madrid, ils allaient en manquer un peu plus à domicile face à Valence, aussi pénultième fût-il. Il a crédité un endroit aussi déshonorant..

Le changement de De Jong à la mi-temps a accentué la perte de talent technique. Kessie n’a pas traîné pour graisser l’enchaînement des passes quand le Barça, en plus de vouloir attaquer pour décrocher la victoire, a ensuite été condamné à défendre avec le ballon, comme le prône Xavi, s’agitant dans les tribunes en raison de la sanction. Son frère Òscar était tout aussi agité agissant en tant que patron, obligé de prendre des décisions cruciales au fur et à mesure que des problèmes survenaient.

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A court d’imagination, le Barça n’a surpris qu’avec une apparition de Raphinha s’interposant en diagonale pour chercher un centre concentré de Busquets, déjà vu à Pampelune, anticipant Mamardashvili. Le minimum, le minimum de succès, servait à faire avancer un autre parti en temps de famine.

L’expulsion d’Araujo pour minimiser les graves conséquences d’un transfert maladroit de Koundé il a reconfiguré le Barça, qui ne s’est pas vautré dans la nouvelle mésaventure qui se produisait. Les joueurs ont retrouvé la concentration qu’ils avaient perdue et se sont battus avec l’humilité de défendre un précieux butin, comme l’avait été le but du Brésilien, qui a profité des positions de départ en l’absence de Dembélé. On ne peut pas en dire autant de ses compagnons de trio.

Terrain trop grand

Le calamiteux Valence, deuxième plus mauvais visiteur de la Ligue (6 points sur 39 possibles en 13 sorties), a accusé l’ampleur du scénario, entre le pessimisme accumulé pendant le tournoi et la composition renouvelée qu’il a présentée au Camp Nou. , un scénario qui dévoile à l’étranger Seuls trois joueurs (Foulquier, Guillamón et Hugo Duro) avaient déjà joué (un, l’an dernier), sur l’interminable pelouse barcelonaise. C’était super pour tout le monde. Il a été prouvé dans son incapacité à tirer parti de la supériorité numérique.

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Il connaissait les dimensions colossales, plus apparentes que réelles, de Baraja, qui priorisait, avant tout, que ses hommes se sentent protégés. Il les rassembla tous et que c’était seulement Duro qui ressentait le froid de la solitude pointue. Valence allait courir d’arrière en avant, mais ils ont dû trop courir, et ils sont arrivés dans la zone de Ter Stegen avec une vue nuageuse de fatigue.

besoin d’objectif

Il n’avait pas non plus d’attaquants sur le terrain, tous assis sur le banc, et ses tirs étaient insignifiants jusqu’à ce qu’il commence à les mettre sur le terrain après l’expulsion d’Araujo. La meilleure occasion de la première mi-temps a été accordée par Ferran à son ancienne équipe lors d’un prêt imprudent à Ter Stegen que le gardien n’a pas pu contrôler. Puis il a répété une mauvaise passe retardée qui a créé un autre embarras, gâchant le tir intentionnel que Mamardashvili a dévié dans l’une des rares occasions de Barcelone.

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La seule chose qui manquait était le penalty de Ferran. Il ne l’a pas cédé à Ansu Fati, qui l’a exigé de lui, tous deux en manque de joie. Ansu a marqué en janvier, mais Ferran, désigné pour lui tirer dessus, n’a pas célébré le moindre but depuis le 1er novembre.

Fiche de données:

Barcelone: Ter Stegen (6), Kound (4), Araujo (6), Christensen (7), Balde (7) ; Sergi Roberto (6), Busquets (6), De Jong (6) ; Raphinha (6), Ferran (4), Ansu Fati (4). Entraîneur : Xavi Hernandez (6). Remplacements : Kessie (5) pour De Jong (m. 46) ; Mark (6) par Ansu Fati (m. 62); Eric (sc) par S. Robert (m. 81); Alark (sc) par Raphinha (m. 88).

Valence : Mamardashvili (5); Foulquier (6), Comert (6), Cenk (7), J. Vazquez (7) ; Thierry (6), Ilaix (5), Guillaume (6), Almeida (4), Lino (6) ; Hugues Hard (6). Entraîneur : Rubén Deck (6). Remplacements : Diakhaby (6) pour Cömert (m. 55) ; Château (6) par Thierry (m. 62) ; Fran Perez (5) par Ilaix (m. 62); Kluivert (sc) par Almeida (m. 78) et Musah (sc) par Linus (m. 78).

Buts: 1-0 (m. 15), Raphinha a dirigé un centre de Busquets.

Arbitre: Alberola Rojas (6), Castille-La Manche.

Cartons rouges : Araujo (m. 59).

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Stade : Camp Nou

Spectateurs: 89.644

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