2024-04-04 22:15:29
Les médecins vendent des services complémentaires dont les bénéfices ne sont souvent pas prouvés. Le représentant des patients du gouvernement fédéral souhaite interdire cela – mais il existe une meilleure solution.
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Il s’agit d’un outil expérimental. Les résultats peuvent être incomplets, obsolètes ou même incorrects.
Stefan Schwartze, représentant des patients du gouvernement fédéral, a proposé d’interdire certains examens échographiques pour la détection précoce du cancer de l’ovaire et de l’utérus. Ces examens, classés comme services de santé individuels (hérissons), peuvent souvent causer plus de mal que de bien, selon Schwartze. Les hérissons sont des services que les patients doivent payer eux-mêmes et que les médecins gagnent en plus des services qu’ils reçoivent des caisses d’assurance maladie. Des études ont montré que ces tests de détection précoce déclenchent souvent de fausses alarmes pouvant conduire à des tests de suivi inutiles, voire à une intervention chirurgicale. Malgré la suggestion de Schwartze, les médecins jouissent de la liberté de traitement, ce qui signifie qu’ils peuvent décider eux-mêmes de la manière de traiter leurs patients. Schwartze a souligné la nécessité d’améliorer les connaissances en matière de santé des patients afin de prendre des décisions éclairées.
Ce résultat est-il utile ?
30 euros, peut-être un quelques autres ou un un peu moins, coûtent des échographies destinées à empêcher les femmes de mourir d’un cancer de l’ovaire ou de l’utérus. 30 euros pour un examen qui sauve des vies. Une enquête menée par le représentant des patients du Gouvernement fédéral, Stefan Schwartze (SPD), veut désormais l’interdire. Comment est-ce possible ? Quel est le problème avec une méthode totalement inoffensive car elle ne provoque aucune exposition à des rayonnements nocifs ? Et qu’est-ce qui peut prévenir les décès par cancer ?
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