30 euros, peut-être un quelques autres ou un un peu moins, coûtent des échographies destinées à empêcher les femmes de mourir d’un cancer de l’ovaire ou de l’utérus. 30 euros pour un examen qui sauve des vies. Une enquête menée par le représentant des patients du Gouvernement fédéral, Stefan Schwartze (SPD), veut désormais l’interdire. Comment est-ce possible ? Quel est le problème avec une méthode totalement inoffensive car elle ne provoque aucune exposition à des rayonnements nocifs ? Et qu’est-ce qui peut prévenir les décès par cancer ?