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Macron défie le mépris et la violence. Il y en avait comme lui en Italie…

Macron défie le mépris et la violence.  Il y en avait comme lui en Italie…
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Macron et la montre contre Le méga-bateau de D’Alema : s’il y en avait en Italie, des politiciens qui défient courageusement les menaces et la violence

Francesco Merloancien chroniqueur du Corriere della Serainvité par un lecteur de “La république”, commenté Emmanuel Macron qui, à la télé, a interviewé sur les retraites, il a caché sa montre chère sous la table. Et sa discrétion a été interprétée comme de la honte.

Merlo aborda le jeune Président- courageux, mais pas très populaire, ces temps-ci, dans son pays-à Massimo d’Alema. Et il a rappelé les chaussures faites à la main achetées par le premier Premier ministre post-communiste à un artisan calabrais cupide, le bateau Ikarus, le conseil en vin et en affaires. Mais, certainement, ces parlementaires, pro-tempore, comme Soumahoro, des Verts, sont plus gênants, qui, après s’être présenté aux électeurs comme un défenseur acharné et sans tache des droits des migrants, a envoyé sa femme dans les studios de télévision qui , mis en examen pour la gestion controversée des coopératives, il revendiquait le droit au luxe… . Pour ce qui est de Macron, sur les retraites, a commis des erreurs, comme le “niet” de dialoguer avec les syndicats. Et elle est affectée par la crise des partis historiques.

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Ce serait cependant positif si, même dans le beau pays, il y avait des politiciens qui mènent des batailles délicates et parfois impopulaires sur des principes qu’ils considèrent justes. Et, comme l’a fait le jeune successeur de Hollande, ils soulignent que la souveraineté appartient aux électeurs, pas à la foule tumultueuse, et encore moins aux groupes violents, aujourd’hui, sur les retraites et hier avec les Gilets jaunes, soutenus par les modestes grillini Di Maio et Du Baptiste.

Tout le monde en France doit se calmer, également au regard des graves menaces adressées à Aurore Bergé, 36 ans, présidente du groupe Renaissance (les partisans de Macron) à l’Assemblée nationale. Bergé a reçu une lettre dans laquelle elle et son bébé de 4 mois sont menacés d’être “déracinés”. « Votre progéniture est si petite – lit la lettre – qu’elle ne pourra pas s’échapper. Feu, batte de baseball, barre de fer. Tout sera, non, tout est bon pour vous déraciner ». De Marine Le Pen, leader du RN, au socialiste Olivier Faure, de nombreux politiques de différents camps ont exprimé leur solidarité avec Madame Bergé.

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