Les policiers du Québec risquent leur vie tous les jours pour protéger la population. Malheureusement, certains de ces courageux agents ne rentrent jamais chez eux en raison de la nature dangereuse de leur travail. Les policiers morts en service au Québec sont des héros qui méritent d’être honorés et commémorés pour leur sacrifice ultime. Dans cet article, nous allons explorer les différentes histoires tragiques de ces policiers qui ont donné leur vie au service de leur communauté et de leur pays.
Le décès de la sergente Maureen Breau de la Sûreté du Québec lors d’une intervention à Louiseville hier nous rappelle que le métier de policier peut être très dangereux. Au cours des dix dernières années, six policiers sont morts en service.
Le premier cité est Donovan Lagrange de la Sûreté du Québec, décédé à Bois-des-Filion dans les Laurentides alors qu’il interceptait un automobiliste qui l’a heurté. Un an plus tard, la Commission des normes, de l’équité, de la santé et de la sécurité du travail (CNESST) a demandé une procédure de travail plus sécuritaire pour les policiers.
Le deuxième policier cité est Steve Déry, de la Police régionale Kativik, âgé de 27 ans. Il a été tué alors qu’il répondait à un appel pour violence conjugale à Kuujjuaq dans le Nord-du-Québec.
Le troisième agent mentionné est Thierry Leroux, du Service de police du Lac Simon. Il est décédé après avoir été atteint de deux balles dans le dos alors qu’il répondait à un appel pour un homme suicidaire à Lac-Simon, en Abitibi.
Le quatrième policier cité est Jacques Ostigny, de la Sûreté du Québec, qui est décédé d’un malaise alors qu’il secourait deux randonneurs sur la Côte-Nord près de Tadoussac.
Le cinquième agent mentionné est Richer Dubuc, de la Gendarmerie royale du Canada. Il est mort dans un accident de voiture en se dirigeant vers le chemin Roxham pour porter assistance à ses collègues qui venaient d’intercepter des réfugiés illégaux à la frontière canado-américaine.
La dernière victime est Maureen Breau, de la Sûreté du Québec. L’agent Breau répondait à un appel pour arrêter un individu qui proférait des menaces. Au moment de son arrestation, le suspect aurait pris un poignard qui se trouvait à proximité pour attaquer les deux agents, atteignant mortellement la policière qui serait tombée du deuxième étage.
Tous ces cas démontrent les risques que les policiers prennent chaque jour en protégeant la population. Le métier de policier est l’un des métiers les plus dangereux du monde et cela doit être rappelé régulièrement. Il est important que la société prenne en compte ces risques et qu’elle fasse tout son possible pour protéger les forces de police. Nous devons les remercier pour leur travail et les soutenir dans leurs missions.
