Thomas Huber ouvre des espaces devant l’œil qui regarde. Il sait faire surgir par la peinture sur une toile plane des volumes insoupçonnés; révéler des architectures amples, oniriques, symboliques; créer des lieux peuplés de tableaux et de sculptures mis en abyme; mais aussi, désormais, donner à voir des paysages: comme ce lac vaste et tranquille posé entre les monts, baigné de lumières chatoyantes et changeantes selon la saison, le temps qu’il fait et l’heure qu’il est. Ces paysages lacustres, nouveaux dans son travail, Thomas Huber (Prix Meret Oppenheim en 2013) les présente aujourd’hui, sous le titre Lac Majeur au Musée d’art de la Suisse italienne (MASI) à Lugano.
Thomas Huber est né en 1955 à Zurich dans une famille d’architectes; les espaces poétiques qu’il ouvre dans ses toiles ont à voir avec ces origines, de même que les vues de montagnes qu’il plaçait parfois dans les tableaux représentés dans ses tableaux. Formé à Bâle, à Londres, à Düsseldorf, le peintre suisse s’est installé à Berlin, où il travaille dans un grand atelier.
Cet article vous intéresse?
Ne manquez aucun de nos contenus publiés quotidiennement – abonnez-vous dès maintenant pour accéder à tous nos articles, dossiers, et analyses
Jusqu’au 25 Décembre, profitez de 30% de rabais sur tous nos abonnements
CONSULTER LES OFFRES
Les bonnes raisons de s’abonner au Temps:
Consultez tous les contenus en illimité sur le site et l’application mobile
Accédez à l’édition papier en version numérique avant 7 heures du matin
Bénéficiez de privilèges exclusifs réservés aux abonnés
Accédez aux archives
Déjà abonné(e) ?
Se connecter
dans un article qui peut figurer en haut dans google
#Lugano #peintre #Thomas #Huber #lance #ses #sortilèges #lacustres
publish_date]