Esso-ExxonMobil, l’un des plus grands noms de l’industrie pétrolière, a annoncé récemment la reprise de son activité de raffinage en Normandie. Cette nouvelle a été accueillie avec enthousiasme par les habitants, les travailleurs de l’usine et les parties impliquées dans la chaîne d’approvisionnement énergétique. Après une longue période d’arrêt, cette décision marque un tournant important pour la région, qui dépend largement de l’industrie pétrolière pour sa prospérité économique. Dans cet article, nous explorons les tenants et les aboutissants de cette décision, ainsi que ses implications pour l’avenir de la région et de l’industrie pétrolière dans son ensemble.
La raffinerie de Port-Jérôme-Gravenchon, appartenant à Esso-ExxonMobil, a repris sa production après une semaine et demie d’arrêt causé par la grève des travailleurs du terminal pétrolier du Havre contre la réforme des retraites. La reconstitution des stocks de pétrole brut et la confirmation de la suspension du mouvement au terminal pétrolier ont permis d’avoir la visibilité suffisante pour confirmer le redémarrage. La grève y a été reconduite jusqu’à jeudi, mais les grévistes ont accepté de signer un protocole avec la direction pour sortir 43 millions de litres de carburants des bacs remplis à ras bord, afin d’approvisionner les stations-service d’Île-de-France. La raffinerie voisine du groupe TotalEnergies, à Gonfreville-L’Orcher, la plus grande de France, a également expédié des carburants vers l’Île-de-France depuis lundi matin. Cependant, la plupart des départements de la région parisienne voient le tiers de leurs stations-service touchées par des pénuries de super sans plomb.
Décret Superbonus, pression des partis pour étendre les déductions à 10 ou 15 ans
2024-04-26 13:57:00 Superbonus, proposé des “déductions dans 10 ans” Assurer la possibilité de étendre la répartition des