Vous pouvez toujours perdre votre maison avec un prêt hypothécaire inversé | Actualités, Sports, Emplois

Chère Annie : En référence à une chronique récente dans laquelle la lectrice a déclaré qu’elle avait perdu sa maison à cause d’une hypothèque inversée, cela peut se produire de deux manières principales, et je veux expliquer comment éviter cela afin que cela n’arrive jamais à d’autres. lecteur.

Dans une hypothèque inversée, l’argent versé par le prêteur au propriétaire à l’envers n’inclut PAS le paiement par le prêteur de l’impôt foncier et de l’assurance contre les risques sur la propriété. Ces paiements doivent être effectués et tenus à jour par le débiteur hypothécaire inversé (le propriétaire) à partir de ses propres ressources.

Le défaut de tenir à jour les taxes foncières et les paiements d’assurance contre les risques peut amener le prêteur à intervenir et à exclure l’hypothèque inversée pour protéger les intérêts du prêteur. En effet, l’absence de paiement de l’impôt foncier ouvre la propriété à une éventuelle action en forclusion distincte par la ville ou la ville dans laquelle la propriété est située. En outre, le fait de laisser expirer l’assurance contre les risques expose le prêteur à la possibilité de perdre son investissement si la propriété brûle ou subit des dommages alors qu’elle n’est pas assurée.

L’une des principales causes de la forclusion des prêts hypothécaires inversés est l’incapacité du propriétaire à maintenir les paiements dans ces deux domaines – l’assurance contre les risques et les impôts fonciers – en particulier une fois que l’argent payé en sens inverse a été épuisé et que le propriétaire âgé s’est retrouvé avec d’autres fonds limités avec où vivre et payer ses dépenses. À mesure que l’espérance de vie des Américains augmente, les personnes âgées survivent aux calendriers de versement de leurs prêts hypothécaires inversés. Cela se traduit par l’incapacité de maintenir l’impôt foncier et l’assurance contre les risques, ce qui entraîne la saisie des propriétés hypothéquées inversées. – Avocat

Cher avocat : J’aime toujours entendre parler de professionnels dont l’expertise peut aider les lecteurs à prendre conscience de leurs obligations et des éléments à connaître ; dans ce cas, s’il contracte une hypothèque inversée. Tout ce que vous dites est parfaitement logique. Merci pour l’écriture.

Chers lecteurs : Le suicide n’est JAMAIS la faute de la personne qui s’enlève la vie. Je voudrais imprimer une lettre qui aide à faire valoir ce point très fort et clair.

Chère Annie : Dans l’une de vos récentes chroniques, un lecteur a mentionné des ressources pour les personnes en crise.

“Le suicide est en effet douloureux pour les survivants, alors s’il vous plaît, prenez le temps d’examiner ces ressources plutôt que d’opter pour la facilité. — Des ressources pour vous aider »

j’aimerais penser “Des ressources pour vous aider” essayait sincèrement d’être utile, mais répondait à ceux qui envisageaient de se suicider avec “plutôt que d’opter pour la facilité” n’est pas du tout utile ! C’est une attitude épouvantable pour ceux qui envisagent de mettre fin à leur vie de leur propre main à cause de la douleur et de la souffrance qu’ils endurent. Ceci n’est PAS un “Sortie facile !” Cela ne fait que renforcer la stigmatisation et alimente des prophéties auto-réalisatrices qui “personne ne s’en soucie / ne comprend.”

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“Comment puis-je pardonner à mon partenaire infidèle?” est sorti maintenant ! La deuxième anthologie d’Annie Lane – avec ses chroniques préférées sur le mariage, l’infidélité, la communication et la réconciliation – est disponible sous forme de livre de poche et de livre électronique. Visitez http://www.creatorspublishing.com pour plus d’informations. Envoyez vos questions pour Annie Lane à [email protected].