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Une Australienne qui a coupé son partenaire demande une libération conditionnelle

Une Australienne qui a coupé son partenaire demande une libération conditionnelle

Avertissement : Cette histoire peut être pénible pour certains lecteurs

L’assassin du Queensland Lindy Yvonne Williams fait une offre de libération conditionnelle neuf ans après avoir tué son partenaire George Gerbic avant de jeter son torse sans tête sur le bord d’une route et de l’incendier.

L’homme de 69 ans a été reconnu coupable et emprisonné en 2018, mais la tête, les mains et les jambes de Gerbic n’ont pas été retrouvées.

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En vertu de la loi du Queensland, la libération conditionnelle doit être automatiquement refusée aux criminels reconnus coupables d’homicide lorsque le corps de la victime n’a pas été retrouvé.

Cependant, la Commission des libérations conditionnelles du Queensland peut accorder une libération conditionnelle si un détenu a coopéré avec les enquêteurs et leur a fourni le dernier emplacement connu de la dépouille de la victime.

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“La Commission entendra l’aspect No Body No Parole de la demande de libération conditionnelle présentée par Lindy Yvonne Williams qui est soumise à cette législation”, a déclaré la Commission dans un communiqué envoyé par courrier électronique jeudi (heure locale).

Un jury de la Cour suprême de Brisbane a déclaré Williams coupable du meurtre de Gerbic dans leur maison près de Gympie en septembre 2013.

On ne sait pas comment elle a tué Gerbic mais un jury a rejeté sa défense selon laquelle elle l’avait accidentellement tué en essayant de se défendre.

Williams a ensuite acheté une scie électrique, a découpé son corps, a jeté son torse sur le bord d’une route à 80 km et y a mis le feu.

Elle a dit aux amis et à la famille de son amant tué qu’il se déstressait lors d’un voyage à l’étranger et a utilisé ses comptes de messagerie et de téléphone pour leur envoyer des messages afin qu’ils pensent qu’il était toujours en vie.

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La demande de libération conditionnelle de Williams sera entendue devant le tribunal de première instance de Brisbane vendredi (heure locale).

Le conseil publiera sa décision indiquant si elle avait “coopéré de manière satisfaisante” avec les enquêteurs enquêtant sur son infraction pour identifier l’emplacement de la victime à une date ultérieure.

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