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Santé, près de la moitié des Italiens à faible revenu abandonnent le traitement

Santé, près de la moitié des Italiens à faible revenu abandonnent le traitement

2024-03-27 05:49:00

Santé, 42% des Italiens sont en situation de précarité sanitaire. C’est une alarme

En 2023, le 42% des patients à faible revenu, jusqu’à 15 millions d’eurosa été contraint de reporter ou abandonner les soins de santé parce qu’ils ne peuvent pas accéder au Service National de Santé. Il le ramène Tgcom24.

Ceci est souligné par 21ème Rapport « Hôpitaux & Santé »promu par l’Aiop (Association Italienne des Hôpitaux Privés) et créé en collaboration avec le Recensement. La part de ceux qui sont contraints de tergiverser ou d’abandonner leur traitement chute à 32,6% de la revenus entre 15 mille et 30 mille eurosil 22,2% de ceux parmi les 30 mille 50 mille euros et le 14,7% de ceux au-delà du 50 millions d’euros.

J’ai des dates alarmantes

Il 36,9% des Italiens ont en effet renoncé à d’autres dépenses pour soutenir les soins de santé : c’est le 50,4% parmi les faibles revenus, le 40,5% parmi les moyens-basses, le 27,7% entre les moyennes-élevées et les 22,6% parmi les plus grands.

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Selon le rapport, dans les 12 derniers moisil 16,3% des personnes ayant besoin de contacter les services de santé se sont rendues une autre régiondans le contexte de services fournis par le service de santé.

La motivation de mobilité la plus récurrente, qui concerne le 31,6% des migrants sanitaires (et 51,8% de ceux qui se déclarent en mauvaise santé), est celle relative àlongueur excessive des listes en attente dans votre région.

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Aux patients qui « migrent » vers d’autres régions, il faut également ajouter un 19,3% de ceux qui, tout en restant au sein du service de santé régional concerné, sont contraints de parcourir plus de 50 km pour profiter du service dont ils ont besoin.

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Parmi les raisons de la mobilité régionale dans le Service de Santé, la 26,5% des rapports indiquent le désir d’obtenir un meilleur service par rapport à ce que l’on croit avoir obtenu dans son propre service de santé régional. A cela s’ajoute un 17,1% De migrants sanitaires qui n’a pas trouvé le type particulier de service de santé dont il avait besoin.

Et encore : il se déplace pour y obtenir un deuxième avis‘8,7%tandis que le 9,8% il le fait parce qu’il vit dans une zone frontalière et que les installations en dehors de la Région sont plus proches ou plus pratiques.

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