“C’est bien la même qui n’a pas servi dans l’armée israélienne et dont la mère a fait de la prison pour les millions d’impôts qu’elle n’a pas payés.”
De nombreuses personnalités israéliennes se sont exprimées sur les réseaux sociaux après le vote au Parlement d’une mesure clé de la réforme judiciaire promue par le gouvernement. Parmi les réactions les plus marquantes, celle du mannequin Bar Refaeli qui a écrit : “Le dernier à partir éteindra la lumière”, ajoutant sur le ton du sarcasme : “Oh, désolée, il fait déjà noir ici.”
Un message qui a provoqué un tollé sur la Toile, de nombreux internautes soulignant que certains des actes passés du top model semblent en contradiction avec ses propos. “Si, si, c’est bien la même qui n’a pas servi dans l’armée israélienne et dont la mère a fait de la prison pour les millions d’impôts qu’elle n’a pas payés. Apparemment, l’État est malgré tout important pour elle”, a réagi l’un d’eux.
L’ancien journaliste d’Israël Hayom, Gonen Ginat, a écrit : “Vous souvenez-vous de celle qui a trouvé un gendre bluffant pour ne pas s’enrôler ? Ça l’arrange de se ranger du côté de la protestation des privilégiés. Tant pis pour elle.”
Les internautes font ici référence au fait que Bar Refaeli a épousé un ami de sa famille en 2003, à l’âge de 18 ans, afin d’être exemptée de service militaire. Divorcée peu de temps après, le mannequin avait expliqué que le fait de s’enrôler aurait été un frein pour sa carrière. Une manœuvre que beaucoup d’Israéliens ont mis du temps à digérer, et qui demeure une sorte de tache sur la popularité du top model dans son pays. Un autre fait rappelé par certains internautes : la mère de Bar, Tzipi Refaeli, a été condamnée en septembre 2020 à 16 mois de prison pour fraude fiscale, tandis que le mannequin a écopé de neuf mois de travaux d’intérêt général pour le même délit.
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