Politique étrangère de Marcos jusqu’à présent: position claire sur le différend maritime, demande de clémence pour Mary Jane Veloso

MANILLE, Philippines – Au cours des 100 premiers jours où Ferdinand “Bongbong” Marcos Jr. a été président, son administration a pu faire passer un message sans équivoque sur la mer des Philippines occidentales et demander la clémence de l’exécutif au nom de la détenue OFW Mary Jane Veloso.

Julio Amador, fondateur et PDG d’Amador Research Services, a déclaré que l’un des points forts des 100 premiers jours de l’administration Marcos est la position désormais claire sur la manière dont les Philippines aborderont le problème de la mer des Philippines occidentale avec la Chine.

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La décision de La Haye de 2016 qui a invalidé les revendications en neuf tirets de la Chine sur des zones de la mer des Philippines occidentales et a statué qu’elle se trouvait sous la zone économique exclusive et le plateau continental des Philippines.

Cependant, Pékin continue d’insister sur le fait qu’il est «illégal, nul et non avenu.” Les Philippines ont déposé des centaines de protestations diplomatiques contre l’empiétement de la Chine sur sa souveraineté en mer.

Sur la décision historique sixième anniversaire, les Philippines, par l’intermédiaire du ministère des Affaires étrangères, ont déclaré : « Nous rejetons fermement les tentatives visant à le saper ; voire l’effacer de la loi, de l’histoire et de nos mémoires collectives.

Les Philippines affirment que les conclusions sont incontestables : « Nous rejetons fermement les tentatives visant à le saper ; voire l’effacer du droit, de l’histoire et de nos mémoires collectives. En même temps, nous saluons le soutien d’une liste croissante de pays pour le prix. @PhilstarNews pic.twitter.com/trYFtmSHf2

– Kaycee Valmonte (@kayceevalmonte) 11 juillet 2022

“La déclaration du DFA soutenue par de nombreuses agences gouvernementales, suivie de la déclaration ferme du président sur la mer de Chine méridionale est un point culminant étant donné qu’il n’y a plus aucun doute quant à notre position sur cette question critique”, a déclaré Amador. Philstar.com.

Les Philippines ont également accueilli le secrétaire d’État américain Antony Blinken en octobre, où le secrétaire aux Affaires étrangères Enrique Manalo a salué la possibilité d’organiser des patrouilles conjointes avec les États-Unis dans la mer des Philippines occidentales, comme le prévoit le traité de défense mutuelle des deux pays. Blinken a également réaffirmé le «engagement à toute épreuve» au MDT.

Malgré cela, Amador a déclaré que le gouvernement devrait déjà publier un document détaillant les priorités sur le front international.

“Une politique de sécurité nationale qui énonce clairement nos priorités en matière de politique étrangère est un document qui doit être publié prochainement”, a déclaré Amador.

Voyages à l’étranger

Ce fut un mois de septembre chargé pour Marcos – avec ses premières visites d’État en Indonésie et à Singapour au cours de la première moitié du mois et un voyage de travail aux États-Unis pour l’Assemblée générale des Nations Unies au cours de la seconde moitié.

Le gouvernement a ramené chez lui une valeur potentielle de 800 milliards de pesos de promesses d’investissement suite à ses visites d’État dans les pays asiatiques voisins. Pendant ce temps, c’était pendant son Discours de l’AGNU lorsque les Philippines ont fait une offre pour un siège au Conseil de sécurité de l’ONU pour le mandat de 2027 à 2028.

« Les visites d’État Indonésie et Singapourainsi que le succès Une visite a également montré que les Philippines réengageaient la communauté internationale. La façon dont cela se traduit par un soutien diplomatique doit être soigneusement surveillée », a déclaré Amador.

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Le président était récemment dans des eaux chaudes pour s’être envolé pour Singapour pour le Grand Prix de Formule 1 quelques jours seulement après que le super typhon Karding ait frappé certaines parties de Luzon. Le palais n’a rompu son silence que lors de l’escapade du week-end de Marcos après que le ministre singapourien de la main-d’œuvre Tan See Leng a publié une photo avec le président.

Clémence exécutive pour Veloso

Pendant ce temps, c’était également lors de la visite d’État de Marcos en Indonésie lorsque les Philippines, via SFA Manalo a demandé la clémence de l’exécutif au nom de Mary Jane Velosoune OFW détenue là-bas depuis plus d’une décennie maintenant après avoir été surprise en train de faire de la contrebande d’héroïne en 2010. La ministre indonésienne des Affaires étrangères, Retno Marsudi, a déclaré qu’elle consulterait le ministère indonésien de la Justice à ce sujet.

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“Le seul moyen d’empêcher un autre Veloso est d’avoir des emplois décents et de qualité dans le pays”, a déclaré Jean Encinas-Franco, professeur de sciences politiques à l’UP. Philstar.com.

Les dernières données de l’Autorité philippine des statistiques montrent que plus de Philippins étaient sans emploi en août avec 2,68 millions de chômeurssupérieur au taux de 2,6 millions de chômeurs enregistré en juillet.

Les professionnels philippins vont généralement à l’étranger pour de meilleures opportunités et des salaires plus élevés afin de subvenir aux besoins de leurs familles. Le groupe syndical Fédération des travailleurs libres a souligné que le incertitude de l’emploi et bas salaires au pays sont quelques-uns des points de peinture d’un employé de tous les jours.

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La dite programme d’exportation de main-d’oeuvre a été introduit sous l’administration du père de Marcos comme mesure provisoire pour contrer le problème du chômage dans le pays.

Jeremiah Opinionano, directeur exécutif de l’Institut pour les questions de migration et de développement, a précédemment déclaré Philstar.com que la mesure était aussi « une réponse à ce besoin croissant des pays en travailleurs, auquel les Philippines ont répondu [to].”

Néanmoins, le problème d’avoir un emploi de qualité chez nous a persisté au fil des ans. Les données de l’Administration philippine de l’emploi à l’étranger montrent qu’environ 255 429 Philippins sont allés à l’étranger au cours des 100 premiers jours de l’administration Marcos.

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Les travailleurs migrants Susan “Toots” Ople ont déjà adressé des critiques, affirmant dans l’une de ses premières interviews que “les gens vont là où se trouvent les emploisles gens vont là où leurs familles seront financièrement soutenues et résilientes.”

Les 100 premiers jours du département des travailleurs migrants

En dépit d’être le “le plus jeune» Membre du gouvernement, le Département des travailleurs migrants a vanté certaines de ses réalisations au cours des 100 premiers jours. Certains d’entre eux incluent la possibilité d’ouvrir davantage de possibilités d’emploi à l’étranger pour les Philippins, des programmes dédiés à Enfants OFWet un système de réponse au rapatriement plus rapide.

Ople, lors de son premier point de presse à la tête de la nouvelle agence, a déclaré que l’une de ses principales priorités était de faciliter les processus pour les OFW grâce à la numérisation. Elle a également dit qu’elle allait diriger le groupe de travail du DMW contre le recrutement illégal et la traite des personnes (TF-AIRTIP) dans le but de donner la priorité à la lutte de l’administration contre le trafic illégal.

Elle a également récemment dirigé une délégation en Arabie saoudite pour régler les problèmes de déploiement des employés des services ménagers et des ouvriers du bâtiment. Le voyage a abouti à la levée de l’interdiction de déploiement des Philippines en Arabie Saoudite à partir du 7 novembre.

Outre les pourparlers avec le royaume, les Philippines sont également étudier plusieurs accords bilatéraux possibles alors que davantage de pays d’Europe de l’Est ont manifesté leur intérêt pour l’embauche d’OFW. Cependant, le professeur Encinas-Franco a souligné que ces accords devraient toujours mettre en avant la sûreté et la sécurité des OFW.

« Les accords bilatéraux doivent mettre l’accent sur l’aspect protection et pas seulement sur l’aspect recrutement. Des deux côtés, il doit y avoir un mécanisme de suivi afin qu’il y ait un contrôle sur la mise en œuvre », a déclaré Encinas-Franco.

“Les négociations doivent également être transparentes et inclure les organisations de la fonction publique et les groupes et défenseurs des migrants.”

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