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Les résultats du baccalauréat 2023 sont disponibles avec un léger recul du taux d’admis

Les résultats du baccalauréat 2023 sont disponibles avec un léger recul du taux d’admis

C’est le jour tant attendu pour près de 720 000 lycéens français. Les résultats du baccalauréat 2023 dans les filières générales et technologiques seront publiés mardi 4 juillet, à partir de 8 heures. Vous pourrez les découvrir dès leur publication grâce à notre moteur de recherche.

Les résultats sont déjà disponibles dans les académies de Paris, Créteil, Versailles, Aix-Marseille, Toulouse, Montpellier, Reims, Orléans-Tours, Nantes, Bordeaux, Rennes, Lyon, Grenoble, Caen, Lille, Rouen, Amiens, Nancy-Metz, Dijon, Toulouse, Montpellier, Grenoble, Besançon…

Près de 85% d’admis avant le rattrapage, un léger recul. Le taux d’admis au baccalauréat avant le rattrapage atteint 84,9% toutes séries confondues, a annoncé sur RTL le ministre de l’Education nationale Pap Ndiaye, contre 86,1% l’année dernière. “Ces chiffres sont frais, ils ont un quart d’heure et seront affinés” précise le ministre, évoquant un léger “tassement” du taux d’admis. “Le bac retrouve une sélectivité qu’il avait pu perdre ces dernières années” commente Pap Ndiaye. Pour les candidats malheureux, qui auront obtenu entre 8 et 10 de moyenne, les épreuves de rattrapage débutent dès mercredi et auront lieu jusqu’au vendredi 7 juillet.

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Un suspense déjà largement éventé. Les élèves connaissaient déjà 82% de la note finale qu’ils ont découvert ce mardi. Seuls la philosophie et le grand oral relevaient encore du mystère, car ce sont les deux uniques matières sur lesquelles les candidats ont planché en juin. Les lycéens savaient déjà quelles notes ils avaient obtenues grâce au contrôle continu ainsi que dans leurs épreuves de spécialité, passées en mars.

“Des ajustements sont nécessaires”. Interrogé par franceinfo le 14 juin, le coprésident du comité de suivi de la réforme du bac admettait que la nouvelle formule de l’examen avait besoin de quelques retouches, trois ans après sa mise en place. Pierre Mathiot plaidait notamment auprès du ministre de l’Education, Pap Ndiaye, pour un rééquilibrage des coefficients entre les épreuves de mars et celles de juin.

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