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Les mosquées à l’école: un prétexte pour l’islamisme

Les mosquées à l’école sont l’un des sujets les plus brûlants de l’actualité en France. Ces institutions ont été créées pour servir de lieux de prière et d’enseignement religieux aux élèves musulmans qui fréquentent les établissements scolaires. Cependant, de nombreux experts et responsables politiques s’inquiètent aujourd’hui de l’exploitation des mosquées à l’école par les groupes islamistes extrémistes. Dans cet article, nous allons examiner comment les mosquées à l’école peuvent devenir des façades pour l’islamisme et menacer la sécurité et l’enseignement laïque en France.


Après la controverse sur les mosquées dans les écoles, des voix musulmanes ont condamné la décision de Bernard Drainville d’interdire les lieux de culte en milieu scolaire. Parmi elles, l’Association des étudiants musulmans de l’Université de Montréal (AEMUDM) a accusé le ministre de l’Éducation d’agir ainsi parce que cela est «populaire» et permet de faire «des gains électoraux».

Cependant, l’AEMUDM lance elle-même des appels à la prière dans une université publique, dans des locaux financés par l’argent des contribuables. Elle craint visiblement que le gouvernement étende sa décision aux cégeps et aux universités, ce que la CAQ refuse de faire. Dans ce contexte, nos élus et les directions d’établissements d’enseignement postsecondaire gagneraient à connaître davantage les valeurs propagées par ce genre d’associations étudiantes.

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En décembre dernier, l’AEMUDM a organisé un voyage à Toronto pour amener des étudiants à un congrès religieux. Cet événement était notamment commandité par le Conseil national des musulmans canadiens. Parmi les orateurs, on comptait un imam qui est soupçonné par Washington d’être un terroriste et qui s’est opposé à ce qu’une mosquée de musulmans modérés de Toronto ouvre ses portes aux homosexuels. Un autre intervenant défend le coupage de la main en cas de vol. Un troisième affirme que l’homme musulman a le droit de battre sa femme, tandis qu’un quatrième a déjà dit que les musulmans doivent se laver pour ne pas ressembler aux Juifs.

De plus, l’AEMUDM a invité Eric Younous en avril 2022, un imam formé en Arabie saoudite qui a déclaré dans le passé que le shabbat était la punition de Dieu pour les Juifs, car il les force ainsi à l’inaction. En octobre dernier, les étudiants musulmans de l’Université de Montréal ont également reçu Jasser Auda, un membre du Conseil européen pour la fatwa. Cette organisation a été créée sous l’impulsion de l’Égyptien Yusuf al-Qaradawi, qui en a été le président. Celui-ci a déjà affirmé qu’Allah a imposé Hitler aux Juifs pour les punir.

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Le Conseil européen pour la fatwa émet par ailleurs des avis religieux. Dans les années 2000, il a enjoint les femmes européennes à porter le hidjab. «Par ce vêtement, la femme se présente comme sérieuse et honnête. Elle n’est pas une source de tentation ou de séduction». Ces faits montrent que les partisans de la laïcité doivent être vigilants et connaître les valeurs prônées par les associations étudiantes musulmanes.

L’argument selon lequel l’interdiction des mosquées dans les écoles constitue de l’islamophobie et de la discrimination est faux. Dans ce débat, les partisans de la laïcité défendent la tolérance et l’inclusion, tandis que ce sont les islamistes qui propagent l’intolérance. Les organisations étudiantes musulmanes comme l’AEMUDM doivent être jugées sur leurs actions et leurs affiliations, et leur rôle dans la propagation de l’islamisme extrémiste doit être remis en question. Les partisans de la laïcité doivent rester vigilants et ne pas céder aux accusations infondées d’islamophobie et de discrimination.

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