D’abord Lombard Odier, puis Edmond de Rothschild et, plus récemment, BNP Paribas: toutes ont annoncé qu’elles quitteraient le navire du centre de Genève. Sans parler de Credit Suisse qui a déjà vendu son immeuble de Bel-Air. La principale raison affichée pour les deux premières, qui pourraient donner l’exemple à d’autres: le choix de la durabilité. Elles se tournent vers des constructions efficientes d’un point de vue énergétique, conformes aux objectifs de la transition que ces banques soutiennent et dans laquelle elles investissent.
Décision écologique ou économique ? Économique répondent les professionnels de l’immobilier: déménager en périphérie revient beaucoup moins cher que ce que coûteraient des bâtiments en centre-ville rénovés pour remplir le cahier des charges de la transition énergétique.
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