2024-01-10 16:32:00
Vou devant le tribunal du travail de Francfort, le patron du GDL, Claus Weselsky, avait gagné sur tous les fronts, mais il avait un problème mardi soir : « Le dernier train est parti », a déclaré le syndicaliste après l’annonce du verdict. Il doit maintenant trouver d’autres moyens de se rendre à Berlin afin d’y mener la grève des conducteurs de train mercredi.
Et il l’a trouvé. Dans le Magazine du matin de ZDF Dans la matinée, il a souligné la volonté de son organisation de poursuivre le conflit collectif avec la Deutsche Bahn par des grèves. “Si rien n’arrive vendredi, nous ferons une pause et nous lancerons dans le prochain conflit du travail.” Il a qualifié la dernière offre des chemins de fer de provocation.
Outre plus d’argent, le GDL exige également une réduction du temps de travail pour les travailleurs postés bénéficiant de l’intégralité de leur salaire. Weselsky a évoqué des conventions collectives avec d’autres compagnies ferroviaires. Ils sont prêts à faire des compromis et à introduire progressivement une réduction du temps de travail.
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Dans le cadre du conflit tarifaire, le GDL a déjà appelé à deux reprises à des grèves d’avertissement, qui ont duré au maximum 24 heures dans le transport de passagers. La grève actuelle dure jusqu’à vendredi, 18 heures.
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