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Le ministère prévoit une surveillance génomique renforcée pour freiner la propagation d’Arcturus.

Le ministère prévoit une surveillance génomique renforcée pour freiner la propagation d’Arcturus.

Depuis l’apparition de la nouvelle souche de Covid-19, baptisée Arcturus, les autorités sanitaires sont sur le qui-vive afin de contenir sa propagation. Ainsi, le ministère de la Santé vient de mettre en place un dispositif de surveillance génomique accrue visant à détecter toute présence du virus sur le territoire. Cette initiative s’inscrit dans le cadre de la stratégie nationale de lutte contre la pandémie et a pour but de freiner la propagation d’Arcturus, qui inquiète les autorités sanitaires du monde entier. Dans cet article, nous vous proposons d’en savoir plus sur ce dispositif de surveillance génomique accrue et sur les enjeux qui y sont liés.

Nous continuerons à coexister avec le COVID-19 jusqu’à ce qu’il soit déclaré (par l’Organisation mondiale de la santé) que le virus a disparu.

Jakarta (ANTARA) – La surveillance génomique a été renforcée dans toutes les régions pour surveiller l’Arcturus ou XBB.1.16, une nouvelle variante de COVID-19, a informé le chef du Bureau de la communication et des services publics du ministère de la Santé, Siti Nadia Tarmizi.

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Elle a déclaré ici vendredi que compte tenu des expériences précédentes au cours des trois années de l’épidémie de COVID-19, de nouvelles variantes de COVID-19 sont toujours découvertes en examinant des échantillons de personnes exposées, d’où la surveillance génomique est devenue très importante.

Ainsi, son parti a renforcé la surveillance au niveau des districts et des villes en collaboration avec les bureaux de santé locaux.

“Par exemple, s’il y a une augmentation du nombre de personnes souffrant de toux et de rhume dans une zone, de plus, s’il y a de nombreux décès, notre surveillance (équipe) se rendra immédiatement dans la zone pour examiner l’incident et mener des recherches épidémiologiques”, a-t-elle déclaré. .

La responsable du ministère de la Santé a déclaré que même si la région ne connaît qu’une faible augmentation des cas positifs, son parti examinera toujours la cause de l’augmentation pour empêcher la transmission potentielle de la nouvelle variante.

En plus de surveiller la transmission de la nouvelle variante, elle a déclaré que son parti se concentrait sur l’examen du taux de mortalité par jour.

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“Nous continuerons à coexister avec le COVID-19 jusqu’à ce qu’il soit déclaré (par l’Organisation mondiale de la santé) que le virus a disparu”, a fait remarquer Tarmizi.

Elle a ensuite appelé le public à rester vigilant car la transmission du virus se poursuit.

« Si le nombre de personnes exposées présentant des symptômes lourds (COVID-19) qui se font soigner à l’hôpital est toujours le même que le nombre de patients atteints d’autres maladies, nous n’avons pas à nous inquiéter (car cela signifierait que le nombre de COVID -19 patients, c’est toujours normal », a-t-elle noté.

Selon les derniers résultats de la surveillance génomique, la variante Arcturus n’a pas encore été détectée en Indonésie. Il a été signalé que la nouvelle variante du COVID-19 a provoqué actuellement une augmentation du nombre de cas en Inde.

Plus tôt, le directeur général de la prévention et du contrôle des maladies du ministère, Maxi Rein Rondonuwu, a déclaré que le gouvernement avait renforcé la surveillance à tous les points d’entrée de l’Indonésie pour anticiper l’importation de la variante Arcturus.

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“Nous avons immédiatement organisé une réunion interne pour améliorer la surveillance dans diverses zones où (de nombreuses) personnes des pays infectés (devraient se rendre)”, a-t-il ajouté.

Les voyageurs présentant des symptômes de COVID-19 subiront un examen médical, y compris une quarantaine, un test PCR sur écouvillon et un examen de séquençage du génome entier (WGS).

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Traduit par : Hreeloita Shanti, Uyu Liman
Editeur : Rahmad Nasution
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