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La Reina Sofía achète 26 œuvres de 18 artistes à ARCO

La Reina Sofía achète 26 œuvres de 18 artistes à ARCO

Le ministère de la Culture et des Sports a acquis à la Foire d’art contemporain (ARCO), qui se tient jusqu’à ce dimanche à Madrid, un ensemble de 26 œuvres de 18 artistes pour le Musée Reina Sofía. La valeur globale s’élève à environ 400 000 euros, qui ont été apportés par le ministère dirigé par Miquel Iceta. Le chiffre représente près de 30 000 euros de plus que ceux investis en 2022 à cet effet à la Foire.

Ces œuvres, qui couvrent différentes disciplines artistiques (installation, vidéo, peinture, photographie, collage…), feront partie de la collection Reina Sofía. Les pièces appartiennent à différentes générations d’artistes : des personnages historiques, comme le regretté uruguayen Joaquín Torres-García, aux créateurs aux carrières consolidées comme Marisa González de Bilbao ou Rosa Torres de Valence, et des artistes plus jeunes dont le travail a été acquis. ces trois dernières années, comme Karlos Martínez (Durango, 1982) qui investigue à travers la sculpture, ou la plasticienne d’Alicante Ana Esteve Reig (Agres, 1986).

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Les œuvres appartiennent à Cecilia Bengolea, Gabriela Bettini, Hair / Prisoner, Lucia C. Pino, Diego Del Pozo, Anna Esteve Reig, Anais Florin, Marisa Gonzalez, Anna Jotta, Lea Lublin, Carlos Martinez, Assumption Fat Mills, Jaume Sans, Pink Torres, Joaquin Torres-Garcia, Damian Ucieda et Javier Utray.

Œuvres de Diego del Pozo (Hate Ear), Joaquín Torres-García et Karlos Martínez (Motifs noirs).

CR

Image secondaire 1 - Œuvres de Diego del Pozo (Hate Ear), Joaquín Torres-García et Karlos Martínez (Motifs noirs).

Image secondaire 2 - Œuvres de Diego del Pozo (Hate Ear), Joaquín Torres-García et Karlos Martínez (Motifs noirs).

L’année dernière, la Reina Sofía a acquis seize œuvres d’artistes nationaux et internationaux à l’ARCO 2022 pour une valeur de 370 000 euros, dont la mythique « Amnesty », l’une des peintures les plus spéciales d’Agustín Ibarrola, réalisée pour la Biennale de Venise en 1976, dédiée en Espagne.

Le tableau, un temps perdu, est réapparu il y a quelques années. Elle a été exposée pour la première fois à la Biennale de Venise dédiée à l’Espagne, surnommée La Biennale Rouge de 76, et a été l’une des images les plus emblématiques de ces années.

Lors de l’édition 2021, qui s’est tenue en juillet en raison de la pandémie, le montant s’élevait à 300 000 euros et le nombre d’œuvres achetées, à 18.

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