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La présidente du Parlement andin lance une session de dialogue avec le Polisario

La présidente du Parlement andin lance une session de dialogue avec le Polisario

Le Parlement andin, représentant la Bolivie, le Pérou, l’Équateur, la Colombie et le Chili, a récemment fait une annonce importante en matière de relations internationales. En effet, avant son départ de la présidence, la présidente du Parlement andin a lancé un dialogue avec la République arabe sahraouie démocratique (RASD), un État non membre de l’Organisation des Nations Unies. Cette initiative pourrait avoir des répercussions significatives sur les relations entre l’Amérique latine et l’Afrique du Nord, ainsi que sur la question du droit à l’autodétermination du peuple sahraoui, sujet de tensions entre le Maroc et la RASD depuis des décennies. Dans cet article, nous allons examiner de plus près les implications de cette initiative et les réactions qu’elle a suscitées sur la scène internationale.


Le Parlement andin, présidé par Gloria Florez, a lancé une session de « dialogue et de coopération » avec le « Parlement » du Polisario, selon un rapport de l’agence SPS, qui cite l’engagement du Front à contribuer à la promotion de l’agenda andin d’intégration africaine. Le Parlement sahraoui est membre observateur du Parlement andin depuis 2011, mais le Maroc bénéficie de ce statut depuis 1996. L’intégration du «Conseil sahraoui» en tant que membre observateur avait été examinée lors de l’Assemblée générale du Parlement andin d’octobre 2022, mais la demande a été rejetée. En mars dernier, quinze membres de l’Assemblée générale du Parlement andin avaient réitéré leur position ferme en faveur de l’intégrité territoriale du Royaume du Maroc et de l’initiative d’autonomie comme solution au différend autour de la question du Sahara.

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