2023-05-31 18:24:37
New Delhi: Mercredi 31 mai, la police de Delhi a tweeté une réfutation d’un rapport de l’agence de presse ANI selon lequel la police n’avait pas suffisamment de preuves pour arrêter le député du BJP Brij Bhushan Sharan Singh, accusé de harcèlement sexuel, mais l’a ensuite supprimé.
“Plusieurs chaînes médiatiques racontent que la police de Delhi n’a pas trouvé de preuves suffisantes dans les affaires enregistrées contre [Singh] … C’est pour préciser que cette nouvelle est “erronée””, a tweeté la police mercredi après-midi. lire.
L’agence de presse de propagande ANI fait vérifier les faits par la police de Delhi.
Maintenant, vous savez qui sont leurs sources. pic.twitter.com/jZsf31LJZX– Mohammed Zubair (@zoo_bear) 31 mai 2023
ANI avait signalé qu’en plus de ne pas avoir suffisamment de preuves pour arrêter Singh, l’enquêteur dans son cas ne serait pas en mesure de l’arrêter car la peine pour ce dont il était accusé en vertu de la loi de 2012 sur la protection des enfants contre les infractions sexuelles était inférieure à sept ans.
“Ni [is he] influencer le témoin ni [is he] détruire les preuves », a déclaré l’agence de presse citant des sources anonymes de la police de Delhi.
Les sections du POCSO ajoutées dans le FIR ont moins de sept ans d’emprisonnement, de sorte que l’enquêteur ne peut pas procéder à l’arrestation comme l’exige l’accusé. Ni il n’influence le témoin ni il ne détruit les preuves : Top Sources in Delhi Police to ANI
— ANI (@ANI) 31 mai 2023
Selon le agence de presse PTI, outre le tweet, le responsable des relations publiques (PRO) de la police de Delhi avait également partagé un message similaire dans un groupe WhatsApp pour les journalistes. Mais après la suppression du tweet, le message WhatsApp a également été supprimé, selon le rapport.
Dans un message ultérieur en hindi, le PRO a déclaré : « Les dossiers déposés par des lutteuses sont toujours à l’étude. Des rapports de situation sont en cours de dépôt devant le tribunal concernant l’enquête dans lesdites affaires. Comme les affaires font l’objet d’une enquête, il serait contraire à la procédure de dire quoi que ce soit avant que le rapport ne soit déposé au tribunal.
Singh a été accusé par des lutteurs – dont les médaillés olympiques Sakshi Malik et Bajrang Punia, ainsi que le médaillé des championnats du monde Vinesh Phogat – d’avoir harcelé sexuellement plusieurs athlètes féminines, dont une mineure.
Singh a nié les allégations et a déclaré mercredi qu’il se “pendrait” si une seule accusation portée contre lui était prouvée.
#MONTRE | « Si une seule allégation contre moi est prouvée, je me pendrai. Si vous (lutteurs) avez des preuves, présentez-les à la Cour et je suis prêt à accepter n’importe quelle punition », a déclaré le chef de la WFI et député du BJP, Brij Bhushan Sharan Singh. pic.twitter.com/hfoB7FOhWc
— ANI (@ANI) 31 mai 2023
La police de Delhi a déposé un FIR contre Singh le 28 avril après que la Cour suprême lui ait émis un avis. Cela est venu après qu’une pétition a été déposée par sept lutteurs.
Le 28 mai, les lutteurs Malik, Punia, Phogat et d’autres ont été arrêtés par la police de Delhi alors qu’ils tentaient de marcher vers le nouveau bâtiment du parlement le 35e jour de leur sit-in de protestation à Jantar Mantar Road. Ils ont été accusés d’émeute après avoir affronté les forces de sécurité.
Le nouveau bâtiment du parlement a été inauguré ce jour-là et Singh a assisté à la cérémonie.
#police #Delhi #supprime #tweet #démentant #les #rapports #sur #manque #preuves #contre #Brij #Bhushan #Singh
1685549518