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“La nécessité d’indépendance du pouvoir judiciaire alliée à l’obligation de rendre des comptes”

“La nécessité d’indépendance du pouvoir judiciaire alliée à l’obligation de rendre des comptes”

Dans tout État de droit, la justice est l’une des pierres angulaires de la société. Elle doit être impartiale, juste et transparente, ce qui nécessite une indépendance totale vis-à-vis des trois pouvoirs – exécutif, législatif et judiciaire. Si la détention d’une certaine autonomie permet au pouvoir judiciaire de remplir ses obligations en toute objectivité, il ne doit cependant pas être exempt de redevabilité. Au contraire, son action doit être examinée dans le cadre d’un mécanisme de responsabilité, également indispensable pour garantir l’équité. Dans cet article, nous allons examiner pourquoi il est crucial de maintenir un équilibre entre l’indépendance d’un pouvoir judiciaire et la responsabilité qui lui est due, afin de préserver l’intégrité de la justice et de renforcer la confiance en son fonctionnement.

Le désaccord sur un point juridique est une tendance bienvenue, mais une division qui sape les fondements de l’institution est une autre affaire et doit être mentionnée avec prudence. Le premier ministre et le juge en chef ne peuvent être comparés parce que l’un est un représentant du public et l’autre un fonctionnaire. Si ce projet de loi va à la Cour suprême, alors il faudra voir comment la magistrature sera constituée et si trois juges seniors en feront partie. C’est ce que dit l’avocat Ahmed Hasan Shah.

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Naya Dur TV Talk Show’Au-delà de l’actualitéIl a dit que dans le passé, chaque fois qu’il y avait une situation de crise, le pouvoir judiciaire était utilisé pour donner une légitimité au pouvoir, mais maintenant, il n’est pas si facile pour le pouvoir judiciaire de donner à quelqu’un une prolongation de trois ans. On entend beaucoup parler d’indépendance de la justice depuis un certain temps déjà. L’utilisation abusive du slogan d’indépendance de la justice se poursuit alors que l’islam est en danger. Il ne faut pas former de petits bancs et chaque province doit être représentée dans chaque banc.

Le professeur Yasir Qureshi a déclaré que le désaccord est une bonne chose, mais le problème est que nos juges en chef ne tolèrent pas ce désaccord. Lorsque l’affaire du juge Qazi Faiz Isa a commencé, les divergences politiques constatées en dehors du tribunal sont également apparues parmi les juges du tribunal. C’est ce genre de désaccord qui nous a amenés ici. Il est également possible que le président Alvi envoie le projet de réforme judiciaire à la Cour suprême pour avis avant de le signer.

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C’est bien que les juges parlent eux-mêmes de réformes et c’est possible à cause du factionnalisme. Pas tout à fait une situation de 1997 et aucune rébellion ouverte contre le juge en chef n’est attendue. Mais si le juge Isa prend une mesure, il faut voir combien de juges se tiennent avec lui.

L’animatrice Raza Rumi a déclaré que nos juges citent des romans comme Parrain dans leurs jugements, prennent note du prix des samoussas, suspendent des accords mondiaux comme Recodec, ferment des aciéries. Le pouvoir judiciaire doit être indépendant, des ressources doivent être allouées, mais la procédure de leur responsabilité doit également être déterminée.

Le programme est diffusé sur Naya Durr TV du lundi au samedi à 21h05.

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