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Gasperini, la Déesse et oui : le coach veut 2-3 champions, garder les grands noms et les grandes ambitions

Gasperini, la Déesse et oui : le coach veut 2-3 champions, garder les grands noms et les grandes ambitions

Aujourd’hui ou demain le sommet avec le président Percassi : l’entraîneur, pour rester à Bergame, demande un marché qui lui permette de lutter avec les grandes équipes. Les adieux après le triomphe seraient douloureux, mais aussi le moment idéal pour partir. Naples compte sur lui pour se reconstruire

Bergame lui a sauté dessus, comme il avait sauté sur le Bayer Leverkusen. Avant-hier soir, après le triomphe en finale de la Ligue Europa, la grande fête à l’hôtel avec l’équipe, encadrée par les supporters afflués à Dublin, tandis que l’écho des amants de la Déesse qui avaient envahi le centre de la la ville est arrivée. Hier l’étreinte à l’aéroport d’Orio, dimanche l’étreinte de tout Bergame. Les poignées d’amour. Et donc, dénouer le nœud du futur, pour Gian Piero Gasperini, dans ce tourbillon d’émotions, est encore un peu plus compliqué. Mais il doit le faire en l’espace de quelques heures, entre aujourd’hui et demain, en rencontrant les Percassi pour discuter de la Déesse à venir. Ce n’est pas une situation nouvelle. Il y a quelques saisons, lorsqu’ils se sont assis pour la même raison, la destination Rome était bien plus qu’une hypothèse. Gasp, ces derniers jours, a raisonné publiquement sur le sujet : « En fait, ce serait le moment idéal pour partir ». Vrai. Mettre fin au cycle doré sans victoire aurait été ennuyeux. Le faire maintenant, après avoir atteint l’objectif maximum possible, aurait du sens. Oui, car, compte tenu du statut actuel de l’Atalanta, le Scudetto ou la Ligue des Champions sont des missions quasiment impossibles. Gasp visait la Coupe d’Italie, qu’il considérait comme un objectif à la portée du club et il a réalisé bien plus : la Ligue Europa, le maximum.

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NAPLES APPELLE

À la conscience d’avoir achevé d’une manière ou d’une autre le travail de huit ans, en plaçant le premier trophée international au tableau, s’ajoutaient les propositions reçues dans différentes langues, mais surtout celles insistantes du Naples de De Laurentiis, déterminé à l’impliquer dans le renaissance architecturée par le nouveau directeur général Manna, un ancien joueur de la Juventus comme Gasp, prêt à soutenir le projet technique du nouvel entraîneur. Et si Naples était convaincu de Gasperini avant, encore moins maintenant, après l’avoir vu écraser les champions d’Allemagne, invaincus depuis 51 matches. Comment Maradona regarderait-il le football qu’il a vu à Dublin ? Il est humainement compréhensible et professionnellement légitime que Gasp considère tout. La légère inquiétude que l’on peut sentir chez les Percassi, effrayés par la « belle femme », alternative à la Déesse, est également compréhensible et légitime. La diversité des points de vue sur le dernier marché a donné naissance à l’électricité. À un moment donné, avec des résultats et un classement boiteux, il semblait que la saison pouvait dérailler. Puis le glorieux écart. Le triomphe de Dublin, s’il a dynamisé encore plus Naples, aurait pu jouer en faveur de Bergame.

PLAT RICHE

Devant Gasperini se trouve la table dressée : la Super Coupe d’Europe aura lieu le 14 août à Varsovie. Peut-être contre Ancelotti, le défi lancé à son collègue le plus performant. Real Madrid-Atalanta ressemble à un conte de fées : Cendrillon au bal du tribunal ; un club provincial, sans championnats, face aux plus glorieux de l’histoire. Et puis la Ligue des Champions renouvelée et la Super Coupe de Riyad, avec l’Inter, Milan et la Juve. Pouvez-vous vous lever d’une table comme celle-ci, même si la nouveauté est fascinante ? Peut-être que Gasp se posait cette question lors de la nuit la plus douce de sa vie, tandis que, debout sur les chaises du Radisson, serrant Antonio Percassi dans ses bras, ému jusqu’aux larmes, il chantait: «Nous sommes les champions!».

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LA DÉCISION

Aujourd’hui ou demain, les Percassis et Gasperini vont s’asseoir pour décider de l’avenir. Gasperini a toujours considéré la possibilité d’actualiser le défi et de relever la barre comme fondamentale pour le bonheur du couple. Il souhaite se sentir embarqué dans un projet technique ambitieux et en mouvement. Jusqu’à présent, cela a été : participation à la Ligue des Champions, trois finales de Coupe d’Italie, Ligue Europa… Désormais, Gasp veut se retrouver avec l’Inter, Milan et la Juve, non seulement à Riyad, mais aussi en Serie A. Ce qui ne signifie pas se battre immédiatement pour le scudetto, mais en se positionnant durablement parmi le top 5 et certifiant un nouveau statut. Ce bond en avant implique un ajustement du marché. Ce qui, à l’honneur de Percassi, s’est déjà en partie produit.

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ÉCHANTILLONS

Si vous dépensez 20 millions pour un gardien (Musso), vous n’êtes plus l’Atalanta que vous étiez avant. Les dépenses pour Ederson, De Ketelaere et Scamacca sont importantes et, pour un club non métropolitain comme l’Atalanta, la durabilité reste une priorité, à travers la valorisation des talents. Que demande alors Gasperini ? Augmenter la part des investissements, même au prix d’une réduction des plus-values ​​et d’un ajustement du plafond salarial, compte tenu du trésor qui a fini dans les caisses au cours de ces 8 années, sachant que l’augmentation de la compétitivité peut augmenter les revenus. En argent ? De bons jeunes joueurs, mais aussi 2-3 champions accomplis et passionnants. Gasp les aimerait tous les deux en attaque (un externe de plus), car c’est là qu’il s’amuse, comme certains enfants qui ne les rendent heureux que si on leur donne des trains. Et puis un milieu physique et dribbleur à inclure dans les rotations. Nous devons augmenter la qualité de la poussée des fascias. Il va sans dire que Koopmeiners reste. Percassi illustrera sa vision. S’ils correspondent, Gasp pourrait devenir un Gasperson à part entière, dépassant les 10 ans d’Atalanta (2016-26), heureux comme un enfant de train jouet, avec une déesse de rêve. Sinon Naples et « la belle femme » pourraient être heureuses.

2024-05-24 01:34:25
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