2024-03-28 09:13:23
L’annonce par guépard de la signature d’un accord préliminaire avec le groupe MSC pour la vente de 19ème siècle confirme la perte totale de crédibilité de l’éditeur qui, la semaine dernière encore, malgré des rumeurs de plus en plus récurrentes et des demandes directes, avait nié l’existence de toute négociation auprès des représentants éditoriaux, niant également les actions ou sollicitations visant à rechercher d’éventuels acheteurs.
Ce n’est pas la première fois que ce que Gedi nie se concrétise en l’espace de quelques jours. C’est une honte, une attitude inacceptable, non respectueuse de la rédaction et des relations avec le comité de rédaction qui doivent toujours être caractérisées par un maximum d’exactitude et de transparence.
Per il Cdr de L’empreintequi exprime toute sa solidarité avec ses collègues ligures, la vente de Le 19ème siècle ouvre désormais un problème très sérieux en ce qui concerne le plan de retraite anticipée et de réorganisation en cours L’empreinte. Ce projet doit évidemment être radicalement révisé puisque notre présence en Ligurie est garantie par un hub partagé avec un journal en cours de vente.
Pour regagner notre confiance, l’éditeur devra à ce stade démontrer par des actions concrètes et des moyens supplémentaires par rapport aux projets actuels, la volonté de maintenir la présence de L’empreinte dans ses provinces historiques de Ligurie comme cela nous a été garanti lors de la dernière réunion et c’est pour cette raison que nous demandons une réunion urgente avec le PDG du groupe Gedi, Maurizio Scanavino, en nous réservant la possibilité de mettre en œuvre les formes de protestation que nous jugeons appropriées.
Nous déclarons immédiatement l’état d’agitation et bloquons toute initiative éditoriale extra-quotidienne jusqu’à ce que des relations syndicales correctes soient rétablies. Nous apprécions la volonté exprimée par Gedi de valoriser L’empreinte en tant que journal national dans le cadre des stratégies de Gedi mais les promesses génériques ne nous suffisent plus. Nous avons besoin de faits concrets et de communications plus transparentes et plus rapides. Nous avons avant tout besoin d’un plan industriel et éditorial qui identifie les ressources humaines, professionnelles et financières capables de mettre en œuvre concrètement le “projet d’entreprise de médias numériques fort, innovant et dynamique” annoncé aujourd’hui par le PDG Scanavino et de maintenir intact le périmètre territorial du journal. Bref, des faits, pas des paroles.
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