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Chambre soutient la mise à disposition d’autotests pour le cancer du col de l’utérus | À PRÉSENT

Chambre soutient la mise à disposition d’autotests pour le cancer du col de l’utérus |  À PRÉSENT

Une majorité de la Chambre des représentants soutient la proposition du D66 de mettre à disposition des tests d’autoprélèvement pour le cancer du col de l’utérus. L’initiatrice Wieke Paulusma espère que cela permettra à davantage de femmes de vérifier si elles sont à risque de cancer du col de l’utérus.

Le programme de dépistage du cancer du col de l’utérus peut être utilisé pour détecter (un stade préliminaire du) cancer du col de l’utérus.

Mais le nombre de participants à l’étude est en baisse depuis 2018. L’année dernière, 55 % des femmes âgées de 30 à 60 ans ont participé à cette enquête. Ce pourcentage est très faible, dit Paulusma. La détection précoce du cancer du col de l’utérus permet de mieux traiter la maladie.

La participation peut être limitée car les jeunes femmes sont moins préoccupées par la possibilité de tomber malade. Les femmes peuvent également trouver le frottis au bureau du médecin douloureux, soupçonne Paulusma.

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Le député espère abaisser le seuil au moyen d’un test d’auto-échantillonnage (“home test”). Ce test peut détecter le virus du papillome humain (VPH, qui cause le cancer du col de l’utérus) et toute cellule anormale. 3 millions d’euros sont nécessaires chaque année pour les tests à domicile.

D66 veut que le test à domicile soit renvoyé à la maison en standard

La D66 souhaite que toutes les femmes qui reçoivent une invitation à participer au dépistage populationnel pour la première fois en 2023, se voient adresser en standard un test à domicile. Cela se fait désormais uniquement sur demande.

“Nous pouvons et devons être beaucoup plus en avance sur le cancer du col de l’utérus que nous ne le faisons actuellement”, déclare Paulusma. “Cela évite non seulement beaucoup de maladies, mais aussi beaucoup de chagrin.”

Le Conseil de la santé a précédemment donné un avis positif sur la proposition soumise par Paulusma lors de la discussion du budget du ministère de la Santé, du Bien-être et des Sports (VWS).

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Environ 950 femmes aux Pays-Bas ont un cancer du col de l’utérus chaque année. La plupart d’entre eux ont entre 30 et 55 ans. Les femmes qui reçoivent un diagnostic de cancer du col de l’utérus précoce ont un taux de survie de 96 %.

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