Lors de son arrivée en poste en février 2022, la présidente de l’Office de consultation publique de Montréal (OCPM), Isabelle Beaulieu, a hérité d’une organisation mal gérée, sans cadre clair, sans code d’éthique, où les employés s’adonnaient à du « vol de temps », a-t-elle affirmé lors de sa comparution devant une commission municipale, vendredi matin.
« Il y avait beaucoup de lacunes, il en reste encore », a-t-elle affirmé dans sa présentation à l’hôtel de ville, où elle avait été convoquée par la Commission sur les finances et l’administration.