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“800 million-dollar settlement and 44,266 hectares reached by British Columbia and the federal government with five First Nations tribes in a historic agreement.”

“800 million-dollar settlement and 44,266 hectares reached by British Columbia and the federal government with five First Nations tribes in a historic agreement.”

C’est une nouvelle historique qui est tombée en début de semaine : cinq Premières Nations de Colombie-Britannique ont conclu un règlement avec le gouvernement fédéral et la province pour une somme de 800 millions de dollars et l’obtention de 44 266 hectares de terres traditionnelles. Cette entente marque un tournant significatif dans les relations entre les Premières Nations et les gouvernements, et représente une reconnaissance du droit ancestral et de l’autonomie des communautés autochtones. Dans cet article, nous allons analyser les tenants et aboutissants de ce règlement historique et les implications que cela pourrait avoir pour les autres communautés autochtones du pays.

Cinq Premières nations de la Colombie-Britannique ont conclu un règlement historique avec les gouvernements provincial et fédéral de 800 millions de dollars et 44 266 hectares de terres.

Les règlements résolvent des revendications de longue date selon lesquelles les Premières Nations n’ont pas reçu toutes les terres qui leur étaient dues en vertu du Traité 8, qu’elles ont signé en 1899, ont déclaré des responsables gouvernementaux.

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La somme monétaire de 800 millions de dollars a été annoncée par le ministre canadien des Relations Couronne-Autochtones, Marc Miller, lors de la période des questions.

“Cela a été retenu pour des raisons proactives”, a déclaré Miller. “Il y a une extrême réticence dans les communautés quant à l’effet d’un afflux d’argent et à la stigmatisation qui se produit avec la manne perçue que cela pourrait être.”

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“Ce n’est pas une aubaine, ce n’est pas de l’argent gratuit. C’est une facture impayée depuis plus de 100 ans par le gouvernement du Canada. S’il y a de la stigmatisation et des préjugés à infliger à qui que ce soit, ce devrait être au gouvernement du Canada et non à nos partenaires de traités, dont nous n’avons pas respecté les obligations depuis 100 ans.

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Les règlements ont été annoncés samedi par Judy Desjarlais, chef des Premières nations de Blueberry River; Trevor Makadahay, chef de la Première Nation de Doig River; Darlene Hunter, chef de la Première Nation de Halfway River; Justin Napoleon, Chef des Premières Nations Saulteau; et Roland Willson, chef des Premières Nations de West Moberly, ainsi que des représentants fédéraux et provinciaux.

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« Il s’agit d’une journée monumentale pour la communauté des Premières Nations de Blueberry River, nos aînés et les ancêtres qui nous ont précédés. Ce règlement fait partie d’un processus continu de reconnaissance et de guérison de la longue et difficile histoire de déplacement et de marginalisation de Blueberry au sein de notre territoire traditionnel », a déclaré la chef Judy Desjarlais.

Selon la province, pendant plus de 100 ans, ces Premières Nations ont été privées de l’usage et du bénéfice de ces terres en Colombie-Britannique, ce qui leur était dû en vertu du Traité 8.

« Le respect du Traité 8 est un élément essentiel du travail de la Colombie-Britannique pour faire progresser la réconciliation dans la région de Peace River et reconnecter ces nations avec leurs terres », a déclaré le premier ministre de la Colombie-Britannique, David Eby. « En réglant les revendications relatives aux droits fonciers issus des traités, nous corrigeons une injustice historique et rétablissons ce qui a été promis en vertu du traité. Il s’agit d’une étape importante qui offrira une plus grande prévisibilité et des opportunités économiques pour tous les habitants de la région.

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En vertu des accords de règlement, le Canada fournira aux Premières Nations une indemnisation pour ces pertes et coûts liés aux revendications, a déclaré le personnel provincial.

La résolution de ces revendications de droits fonciers issus de traités est le résultat des efforts dévoués des chefs, des conseils, des communautés et des négociateurs depuis 2004, selon la province.

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