Nouvelles Du Monde

Une nouvelle hausse des prix du crédit est attendue

Une nouvelle hausse des prix du crédit est attendue

La Banque centrale européenne (BCE) a déjà relevé le taux d’intérêt de base de 250 points de base cette année, ce qui a fortement augmenté les taux d’intérêt des prêts. Ainsi, le taux des prêts interbancaires “Euribor” depuis six mois a déjà dépassé le niveau de 2,5% par an contre environ -0,5% au printemps de cette année, ce qui signifie pour les emprunteurs une augmentation des remboursements de prêts d’une valeur de plusieurs dizaines d’euros, en fonction sur le montant et la durée du prêt. En raison des hausses de taux, la hausse des taux de crédit signifie également des investissements plus coûteux, ce qui entraînera un ralentissement de l’activité économique, contribuant en même temps à une baisse des prix des matières premières sur les bourses de matières premières. Leur hausse a été la principale raison de la montée en flèche de l’inflation jusqu’à présent. Maintenant, avec la baisse des prix, il y a lieu de penser à une baisse plus forte de l’inflation.

Lire aussi  L'avocate de Trump, Alina Habba, critique le juge, le qualifiant de "déséquilibré" à l'extérieur de la salle d'audience

Alors que les emprunteurs calculent les pertes potentielles liées à la hausse du coût des emprunts déjà contractés, il y a aussi de bonnes nouvelles sur le marché. D’abord et avant tout, le fait que l’inflation américaine a baissé pendant cinq mois consécutifs, le taux d’inflation annuel passant de 9,1 % en juin à 7,1 % en novembre. La zone euro, sous la juridiction de la BCE, ne va pas si bien, et novembre a été le premier mois au cours duquel, en termes de devises, l’indice des prix à la consommation dans son ensemble a montré une volonté de baisser d’une année sur l’autre. Dans la zone euro, le taux d’inflation annuel s’est établi à 10,1 %, soit 0,1 point de pourcentage de plus que prévu par les analystes, mais en même temps un demi-point de pourcentage de moins qu’en octobre. Cependant, une baisse de cette ampleur indique une tendance positive, et la chute des prix du pétrole ce mois-ci fait encore plus reculer l’indicateur d’inflation potentielle.

Lire aussi  les provinces exposées pour 8 000 milliards - Corriere.it

La question – dans quelle mesure les conseils d’administration des banques centrales réagiront-ils à cela ? Pour l’instant, il semble que les emprunteurs, du moins dans le cadre de l’union monétaire européenne, doivent compter sur le fait que la hausse des taux va se poursuivre et, très probablement, le moment où le taux Euribor 6 mois atteindra le 3 Marquer % et même le dépasser n’est pas loin. La bonne nouvelle est peut-être qu’à ce niveau de crédit, la hausse des taux d’intérêt peut s’arrêter, mais tout dépend de la flexibilité de la direction de la BCE, qui ne s’est pas justifiée ces dernières années. Dans le même temps, il convient de souligner qu’attendre jusqu’à présent que l’inflation atteigne des niveaux jamais vus depuis des décennies, puis augmenter rapidement les taux, peut également causer des problèmes plus larges à la zone euro. A savoir, si la direction de la banque centrale ignore la chute de l’activité économique et la baisse des prix des titres de la dette publique de certains pays à très haut niveau de dette publique, comme la Grèce ou l’Italie, la zone euro risque de retomber dans le les griffes d’une nouvelle crise de la dette. Le prix des décisions peut être très élevé et la BCE doit suivre une voie très étroite en essayant de réduire l’inflation de manière à ce que la zone euro ne se retrouve pas avec une nouvelle crise financière avec ses décisions de lutte.

Lire aussi  48 000 universitaires de l'UC sont sur le point de faire grève, y compris à l'UCSD, affectant les cours, les laboratoires et la recherche

Facebook
Twitter
LinkedIn
Pinterest

Leave a Comment

This site uses Akismet to reduce spam. Learn how your comment data is processed.

ADVERTISEMENT