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Un professeur de droit chinois exprime ses inquiétudes concernant le rejet des eaux nucléaires de Fukushima lors d’une réunion de l’ONU – JURIST

Un professeur de droit chinois exprime ses inquiétudes concernant le rejet des eaux nucléaires de Fukushima lors d’une réunion de l’ONU – JURIST

Un professeur de droit chinois et expert des droits de l’homme a exprimé mardi ses inquiétudes concernant le rejet d’eau nucléaire par le Japon de la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi lors de la 54e session du Conseil des droits de l’homme des Nations Unies.

La déclaration a eu lieu dans un dialogue interactif avec le Rapporteur spécial sur les substances toxiques et les droits de l’homme.

Au cours du dialogue, Li Shouping, professeur à l’Institut de technologie de Pékin représentant le Société chinoise pour les études sur les droits de l’homme, souligné que les droits environnementaux dont jouissent les humains sont un droit humain collectif transcendant les frontières nationales, et a souligné l’idée que la gestion et l’élimination des substances dangereuses ne sont pas l’affaire d’un seul pays. Li s’est dit préoccupé par la décision du Japon de rejeter des eaux contaminées de Fukushima, déclarant qu’elle semblait transférer des risques à la communauté mondiale et pourrait potentiellement nuire aux générations futures et à l’environnement marin.

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En août, le ministère chinois des Affaires étrangères émis un document de travail sur les rejets d’eaux nucléaires de Fukushima. Le document de travail affirmait que le Japon n’avait pas rempli ses obligations internationales en matière de rejet de l’eau nucléaire. Comme le dit le document de travail, selon le droit international établi et la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer (UNCLOS), le Japon est tenu de protéger l’environnement marin. Lors de l’élimination de l’eau contaminée par des substances nucléaires, le Japon doit prendre toutes les mesures nécessaires pour prévenir les dommages causés par la pollution aux autres États et à leur environnement. En outre, le document de travail citait le Convention de Londres de 1972qui interdit le déversement de déchets radioactifs dans la mer via des structures artificielles en mer, pour affirmer que le rejet par le Japon d’eau contaminée par des pipelines sous-marins violait la convention.

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Avant que le Japon envisage de rejeter les eaux radioactives de Fukushima dans l’océan Pacifique, des experts de l’ONU soulevé inquiétudes quant à la présence potentielle d’isotopes radioactifs, dont le carbone 14, et à leur impact sur la santé humaine et l’environnement.

En réponse à la décision du Japon, des centaines de militants sud-coréens se sont rassemblés à Séoul en août pour protester contre le rejet d’eau radioactive dans l’océan Pacifique. La Chine a également pris des mesures, annonçant la poursuite interdire sur les importations de produits alimentaires en provenance de régions spécifiques du Japon. Selon les douanes chinoises, cette mesure vise à prévenir les risques de contamination radioactive de la sécurité alimentaire.

2023-09-21 20:27:28
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