Une participante au concours d’entrée à la formation dentaire du 6 juillet a contesté avec succès son tube au Conseil d’État. Cela ressort clairement du jugement du tribunal publié vendredi.
Cela s’est mal passé techniquement pendant l’examen. Chez 59 participants, un signe moins n’était pas visible pour deux questions, rendant les questions insolubles. Le jury d’examen a donc décidé d’attribuer aux participants concernés la note maximale pour ces questions.
Un élève du groupe qui a bien vu les questions s’est alors adressé à l’instance d’appel. Elle avait mal répondu à l’une des deux questions et était juste essoufflée. Elle estime qu’elle aussi aurait dû obtenir la note maximale aux deux questions, sinon il y aurait inégalité de traitement.
L’instance d’appel a rejeté cet argument et confirmé le score de l’étudiante, ce qui signifiait qu’elle ne serait pas autorisée à commencer sa formation dentaire.
Le Conseil d’État a suspendu cette décision. Différentes conditions d’examen ont été créées, dit-il. “Ainsi, les deux catégories de candidats n’ont pas eu les mêmes chances de réussir et d’être classés favorablement.”
Cela s’applique-t-il aux autres étudiants ?
Selon Christophe Vangeel, l’avocat de l’étudiant concerné, il est “difficile de prédire” si le jugement aura des conséquences plus larges que pour son seul client. “Pour mon client, l’instance d’appel doit de toute façon rendre une nouvelle décision”, sonne-t-on. Il semble incertain que d’autres étudiants qui se trouvaient dans une situation similaire puissent également se prévaloir de la décision du Conseil d’État. “Normalement, une décision du Conseil d’État s’applique à tout le monde, mais il y a des délais pour faire appel à l’instance d’appel et ces délais peuvent avoir expiré pour les autres étudiants entre-temps”, a déclaré Vangeel.
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