«Quand les temps sont troublés et que se rapproche l’ombre des vautours, je me tourne toujours vers la Bible», aimait à dire Hunter S. Thompson, qui mentait beaucoup. Quoi qu’il en soit, chacun son truc. Moi, c’est René Goscinny vers lequel j’aime à revenir quand les rapaces volent trop bas et en cercles trop serrés. La situation étant dans mon cas plus complexe car les charognards sont régulièrement ceux-là mêmes qui se réclament de l’héritage du très saint homme, décédé en novembre 1977 aussi imbécilement que sa vie fut singulière, devant son médecin, sur la selle d’un vélo, au cours d’un test d’effort.
François Barras est journaliste à la rubrique culturelle. Depuis mars 2000, il raconte notamment les musiques actuelles, passées et pourquoi pas futures.Plus d’infos
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– Très cher René
«Quand les temps sont troublés et que se rapproche l’ombre des vautours, je me tourne toujours vers la Bible», aimait à dire Hunter S. Thompson, qui mentait beaucoup. Quoi qu’il en soit, chacun son truc. Moi, c’est René Goscinny vers lequel j’aime à revenir quand les rapaces volent trop bas et en cercles trop serrés. La situation étant dans mon cas plus complexe car les charognards sont régulièrement ceux-là mêmes qui se réclament de l’héritage du très saint homme, décédé en novembre 1977 aussi imbécilement que sa vie fut singulière, devant son médecin, sur la selle d’un vélo, au cours d’un test d’effort.
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