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Test Lotus Emira, fiche technique, avis et dimensions 2.0 IC4 First Edition DCT

Test Lotus Emira, fiche technique, avis et dimensions 2.0 IC4 First Edition DCT

2024-05-02 04:19:24

Coeur allemand

Une nouvelle version du Lotus Émira: la seule voiture de sport de la marque anglaise dotée d’un moteur thermique est scindée en deux et après avoir été initialement proposée avec le V6 suralimenté d’origine Toyota (qui le premier contact) qui équipait déjà la précédente Lotus Evora, est désormais également disponible avec une version plus moderne 2.0 turbo essence un 4 cylindres. C’est le même moteur que certains ont Mercedes-AMG compact comme l’A 45 et le CLA 45, bien que dans cette application il soit légèrement moins puissant : déclare l’entreprise 365 CV et un couple maximum de 430 Nm. Cependant, c’est plus que suffisant pour lancer 1,446 kg de la Lotus Emira de 0 à 100 km/h en 4,4 secondes et lui faire atteindre une vitesse de pointe maximale de 290 km/h.

Un pur plaisir de conduite

La performance pour amusez-vous sur la route et entre les trottoirs, il y en a, mais une voiture de ce type n’est pas achetée pour la vitesse pure, mais pour l’implication de conduite que seul un coupé à moteur central peut offrir. Et bien que notre premier contact ait eu lieu sur les routes étroites et humides du Norfolk (Angleterre), nous avons immédiatement apprécié le précision de la direction – un peu plus lourd que la moyenne, mais très réactif et communicatif – et des suspensions rigides, certes, mais bien calibrées pour ne pas déséquilibrer la voiture dans les bosses et les creux. Là Lotus Émira Elle ne dispose pas d’amortisseurs à commande électronique, mais lors de l’achat, vous pourrez choisir entre deux configurations, Confort et Sport (celle de la voiture testée), selon que vous privilégiez le confort de conduite ou la précision dans les virages.

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Le moteur est mis en avant, la boîte de vitesses un peu moins…

Juste derrière vous, le quatre cylindres allemand entend sa voix et celle du gros turbocompresseur qui «il renifle» à chaque fois que vous relâchez le gaz. Par rapport aux unités montées par Mercedes, sur le Lotus Émira il nous a semblé avoir un rendu plus doux et plus linéaire qui va bien avec le caractère de cette voiture. Et avec le couple maximal arrivant déjà à 3 000 tr/min, nul besoin d’être toujours dans la zone rouge du compte-tours (le limiteur est réglé à 7 200 tr/min) pour passer avec une rapidité remarquable d’un virage à l’autre. Un système transmet le mouvement aux roues arrière changement robotique double embrayage boîte de vitesses à huit rapports, également d’origine Mercedes-AMG : une transmission qui fonctionne bien, avec des logiques de fonctionnement intelligentes en mode automatique, mais pas des plus réactives lors de l’utilisation des palettes derrière le volant. Les choses s’améliorent en utilisant le mode de conduite le Track est plus agressif (il y en a deux autres Touring et Sport), mais surtout en montée on aurait préféré des temps de réponse plus courts.

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Il n’y a pas beaucoup de compromis

Sur le plan esthétique, le Lotus Émira Le quatre cylindres ne présente aucune différence par rapport à son “soeur” six cylindres, à l’exception du cache moteur différent sous la lunette arrière. Le design de la voiture s’inspire de celui de l’hypercar électrique Evija, notamment à l’avant où la forme particulière du pare-chocs et du capot canalise l’air vers l’arrière. Les côtés sont sinueux, caractérisés par les deux grandes prises d’air situées juste derrière les portes. L’intérieur de la Lotus Emira n’a rien à voir avec les voitures de sport de la marque anglaise d’autrefois comme l’Elise ou l’Exige. Finitions et matériaux Je suis qualité et tous les conforts attendus d’une voiture de sport moderne ne manquent pas, comme des sièges à réglage électrique (chauffants) et un système multimédia Écran tactile de 10,25″ doté de toutes les fonctions les plus importantes et flanqué d’un tableau de bord numérique clair et défini (12,3″). Spacieux, pour la catégorie, je boite à gants: il y a un véritable tiroir devant le passager et des poches dans les portes, tandis que la grande étagère derrière les dossiers permet, avec le coffre arrière, de porter la capacité de chargement de la voiture jusqu’à 359 litres. Pas mal. C’est cependant dommage pour la plage de hauteur un peu limitée du volant : toute personne mesurant plus de 180 cm risque de se toucher les cuisses avec les coudes dans les courbes supérieures à 90°.

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Combien ça coûte?

Pour le moment le Lotus Émira Le quatre cylindres est vendu en une seule version de lancement “First Edition” pour 98 810 euros (soit environ 5 000 euros de moins que l’Emira V6) avec un équipement standard assez riche qui comprend, entre autres, le système audio Kef de 560 W avec 10 haut-parleurs, les aides au stationnement avant et arrière avec caméra de recul (peu définie), le système multimédia à écran tactile avec navigateur et connexions aux smartphones via Apple CarPlay et Android Auto. Seule la peinture est payée séparément (avec des prix allant de 880 à 2 260 euros) et certaines selleries intérieures en cuir ou Alcantara (entre 1 910 et 2 930 euros).



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