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L’un de mes forgerons de mots et conteur préféré, Stuart McLean, a commencé un article en écrivant : « Il n’y a pas de bon moment pour les mauvaises nouvelles. Cela fait un point solennel et poignant.
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Les mauvaises nouvelles ne se programment pas non plus pour un lectorat ou des téléspectateurs maximum. Ça arrive. Et ceux qui ont la chance d’être dans le secteur de l’information tentent – parfois plus misérablement que d’autres – de transmettre les informations correctes sans aucun parti pris ni préjugé. Parfois c’est dur. Très dur.
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J’ai eu du mal à écrire sur l’aide médicale à mourir. En tant que procrastinateur autoproclamé, j’ai traîné le lundi après-midi, vérifiant mes e-mails toutes les minutes, me rendant à la cafetière pour une autre tasse, visitant des sites Web qui, je le sais, n’ont pas changé depuis mes dernières visites et fixant les épinettes imposantes devant ma fenêtre.
L’histoire de François Belzile et de sa femme n’est pas seulement tragique, elle nous pousse inconfortablement dans le domaine le plus tendre pour poser une question déchirante à laquelle nous devons tous – nous tous – réfléchir. Comment avons-nous échoué à empêcher les événements qui se sont soldés par la mort d’une personne et la vie d’une autre gravement altérée ?
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Belzile a plaidé coupable fin février pour homicide involontaire dans la mort de sa femme Christiane Belzile. François Belzile était le seul assistant personnel de sa femme – veuillez garder à l’esprit cette information très importante – et lui a fait une injection mortelle d’insuline, puis a tenté de se suicider. Mais il a survécu.
La douleur qu’il ressentait en voyant la femme qu’il aimait, supposait-il, était si engourdissante. Christiane Belzile a subi un accident vasculaire cérébral en 2011 et a glissé cognitivement vers le bas. Elle avait quelques mots choisis qu’elle pouvait prononcer avant de ne plus pouvoir parler.
François Belzile a deviné ce que voulait sa femme et, à son crédit, a estimé qu’il ne pouvait pas la quitter. Elle a reçu un diagnostic de diabète.
Une chute dans les escaliers de leur appartement d’Oliver a été le point de rupture de Belzile, un ancien comptable. Il a ensuite comploté la mort de sa femme et la sienne.
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Le Dr Heidi Janz a fait sa croisade personnelle pour s’opposer à l’AMM et a obtenu une reconnaissance nationale tant souhaitée pour son travail. De manière éloquente typique de Janz, elle dit qu’il existe un lien fondamental entre le verdict et celui de Tracy Latimer. Le père de Latimer, Robert Latimer, a été reconnu coupable de son meurtre à Battleford, en Saskatchewan. Tracy Latimer vivait avec une grave paralysie cérébrale. Clair et simple – épuisement professionnel des soignants.
Les deux hommes ont vu deux femmes qu’ils aiment devenir des personnes qui – à tort ou à raison – ne pouvaient pas penser par elles-mêmes et ont choisi une fin très tragique. Les “et si” dans les deux cas sont sans fin.
Pourtant, il faut se demander si les deux hommes – qui fournissaient des soins 24 heures sur 24, 7 jours sur 7 – auraient pu avoir des pensées différentes s’ils avaient bénéficié de soins de relève. Ce qui signifie plus de soins à domicile… de meilleurs soins à domicile.
MAID a plusieurs zones d’ombre et si l’affaire Belzile danse dangereusement autour de MAID, ce n’est pas parce que Christiane Belzile ne l’a pas demandé. Pourtant, c’est une pente très glissante – une pente que nous devons tous reconnaître.
Nous devons exercer des pressions pour obtenir des soutiens accrus, en particulier dans les soins à domicile, afin de prouver que la vie vaut certainement la peine d’être vécue au Canada.
N’est-ce pas?
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