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Superbonus, la circulaire fiscale arrive pour relancer l’attribution des crédits

Superbonus, la circulaire fiscale arrive pour relancer l’attribution des crédits

L’Agence du revenu a publié l’attente circulaire aux dernières nouvelles qui, avec les décrets Aide et Aide bis, ont tenté de relancer le mécanisme incessant de l’attribution des crédits : c’était la dernière étape, invoquée tant des banques que du monde de la constructionaprès que les interventions réglementaires aient réécrit les règles sur la solidarité des sujets qui achètent les crédits, prévoyant des traductions assermentées également pour les œuvres du passé, précisément dans le but de relancer les achats et de mettre en circulation les anciens crédits.

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Plus de marges pour relancer les achats

Avant les nouvelles d’aujourd’hui, le monde de la construction et les sujets financiers qui sont entrés dans les opérations d’achat et de vente des crédits d’impôt accumulés avec les travaux, étaient coincés avec les indications données par le même fisc le 23 juin dernier. Des indications très restrictives, pour lesquelles même les cessionnaires étaient tenus de restituer les sommes non dues, s’ils n’avaient pas appliqué une diligence suffisante dans les opérations de vérification. Une position qui a contribué de manière décisive à bloquer le marché, fragilisant de fait la possibilité donnée aux banques de transférer des crédits à leurs titulaires de comptes courants avec un numéro de TVA (le fameux « quatrième transfert »), de désengorger leurs bilans et de construire nouvelles marges manœuvre pour acheter de nouveaux crédits. En revanche, c’est le même rapport voulu par la Commission bancaire présidée par Carla Ruocco pour certifier qu’une capacité budgétaire théorique de 81 milliards (étalée sur une période de cinq ans d’utilisation des crédits) avait été presque entièrement absorbée, pour 77 milliards. Pour résoudre le problème, avec le décret Aiuti-bis, la responsabilité solidaire a été limitée aux seuls cas de « faute intentionnelle et de faute lourde », afin de limiter la responsabilité solidaire à des cas limités. Et maintenant, avec les instructions de l’Agence, il ne devrait plus y avoir d’excuses pour un redémarrage du mécanisme.

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La responsabilité de ceux qui achètent les crédits

La circulaire 33/E, explique l’Agence, apporte aujourd’hui des éclaircissements précisément sur la responsabilité solidaire du fournisseur qui a appliqué l’escompte sur la facture et du créditeur, « si l’inexistence, même partielle, des conditions ouvrant droit à la déduction fiscale est constatée ».

Le texte illustre des cas de faute intentionnelle et de négligence grave. “La tromperie se produit lorsque le cessionnaire a connaissance de l’inexistence du crédit, comme par exemple dans le cas où ce dernier a préalablement convenu avec le prétendu bénéficiaire initial des modalités de génération et d’utilisation de celui-ci ou si le caractère fictif du crédit est manifestement évident à un examen initial, effectué par quiconque, et néanmoins le cessionnaire procède dans tous les cas à l’acquisition et à l’indemnisation de celui-ci dans le formulaire F24, obtenant un avantage fiscal indu lié au crédit inexistant ” ; négligence grave survient “lorsque le cessionnaire a omis, en termes “macroscopiques”, les diligences requises, comme, par exemple, dans le cas où l’achat des crédits a été effectué en l’absence de la documentation requise pour les justifier ou en présence de une contradiction manifeste de la documentation produite par le cédant (par exemple, dans le cas où la déclaration sur l’honneur fait référence à un bien autre que celui faisant l’objet
interventions facilitées) ».

Pour que la responsabilité de ceux qui achètent des crédits soit limitée à ces cas extrêmes, il faut qu’ils acquièrent également ex post (“now by then”) le visa de conformité, les attestations et les attestations sur l’honneur requises. Or le fisc détaille le fonctionnement de cette exclusion de responsabilité : pour le Superbonus « aborigène », comme pour ces travaux l’acquisition de la documentation a toujours été obligatoire afin d’appliquer le virement ou l’escompte sur la facture ; pour les autres primes d’immeuble, à compter de l’introduction de l’obligation d’avoir un visa de conformité, des attestations et attestations sur l’honneur prévues par le paragraphe 1-ter de l’article 121 du décret de relance (en vigueur à partir du 12 novembre 2021). Pour les bonus qui ont été introduits avant la fourniture de ces obligations documentaires, l’acquisition “maintenant d’ici là” limite la responsabilité solidaire du cessionnaire du même fournisseur – ainsi que des cessionnaires ultérieurs en possession de la même documentation requise par la loi en cause – uniquement en cas de faute intentionnelle ou de négligence grave.

Les indices de diligence

La circulaire détaille également “une interprétation plus spécifique des indices de diligence des acquéreurs de crédits d’impôt, qui ont un caractère illustratif et visent à rendre homogène et transparente l’action de l’Agence sur le territoire national”. Par exemple, lorsqu’il s’agit d’apprécier la cohérence entre la capacité de revenu et les montants des travaux en cause, l’Agence suggère que « l’acquisition d’une copie des virements bancaires représente un élément visant à démontrer une conduite diligente de la part des cessionnaires des crédits d’impôt ou tout autre document propre à démontrer la bonne exécution, par le maître d’ouvrage, des paiements relatifs au montant des travaux restant à sa charge (dans les cas où la subvention ne couvre pas l’intégralité du montant des travaux) et à condition que les travaux aient été effectivement exécutés ». Ou encore, lorsqu’on parle de l’indice de disproportion entre la taille des travaux et la valeur des biens (une « alerte » qui demande une vérification plus approfondie), la circulaire précise que « les organes de contrôle devront vérifier si les le cessionnaire a acquis plus d’informations et de documents, aptes à vérifier l’exécution effective des travaux pour les montants déclarés et le détail des dépenses engagées, ainsi que les pièces justificatives financières et fiscales y afférentes ».

Le transfert aux titulaires de compte

Toujours au sujet de la cession de créances aux clients professionnels par les banques (également possible sans que le triple transfert de cessions ait été réalisé au préalable), la circulaire rappelle « même en cas de première communication de cession ou d’escompte sur la facture envoyée avant 1er mai 2022 (contrairement aux dispositions de l’article 57 du décret d’aide), les banques ou les sociétés appartenant à un groupe bancaire sont autorisées à transférer à des sujets autres que des consommateurs ou des utilisateurs, qui ont conclu un contrat de compte courant avec la banque elle-même, ou avec la banque mère, sans droit de transfert ultérieur “. Tout acquéreur professionnel ne doit pas renouveler l’enquête sur l’enveloppe de crédits, à condition que « la banque transférante remette au titulaire du compte cessionnaire tous les documents propres à démontrer qu’elle a observé elle-même, au moment
du rachat du crédit affecté, les diligences nécessaires ».

Comment remédier en cas de retard de communication

Enfin, la circulaire élargit la fenêtre de temps pour ceux qui n’ont pas envoyé la communication à temps pour l’exercice de l’option pour l’escompte sur la facture ou la cession de l’avoir, soit avant le 29 avril 2022 pour les dépenses engagées en 2021 et pour les acomptes résiduels non utilisés des déductions relatives aux dépenses engagées en 2020. Vous pouvez accéder à la « remise en bonis », institution qui vous permet d’envoyer la communication jusqu’au 30 novembre 2022 (date limite de dépôt de la déclaration de revenus), en versant un montant égal à la mesure minimale de la sanction établie.

La circulaire – explique enfin le fisc – contient des informations utiles dans le cas où des erreurs auraient été commises dans la communication de l’option envoyée. En particulier, si l’erreur dans la communication est formelle, par exemple les données cadastrales ou l’avancement des travaux ont été signalés de manière incorrecte, il suffit d’envoyer un rapport via pec. Si, en revanche, l’erreur est substantielle, c’est-à-dire si elle affecte des éléments essentiels du crédit attribué, il est possible d’envoyer une communication de substitution jusqu’au cinquième jour du mois suivant celui au cours duquel elle a été envoyée. Passé ce délai, si le cessionnaire a accepté l’avoir, les parties peuvent demander l’annulation de l’acceptation des avoirs issus de communications de premières cessions ou de remises erronées, en adressant un formulaire spécifique – joint à la circulaire – à une case pec dédiée “.

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