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Serie A, Cremonese-Udinese 0-0 – La Gazzetta dello Sport

Serie A, Cremonese-Udinese 0-0 – La Gazzetta dello Sport

Trois points lors des quatre derniers matchs pour les hommes de Sottil. L’Espagnol rate deux belles occasions, la dernière en pleine reprise. Les grigiorossi restent en queue de peloton, mais font bouger le classement

De notre correspondant Francesco Velluzzi

30 octobre
– CRÉMONE

Ça se termine sans buts, le Cremonese continue de naviguer en mauvaise eau, mais sourit, en vue du play-off à Salerne, l’Udinese embrouille. Mais cinq matchs de suite sans victoire (en comptant la Coupe d’Italie), ça veut dire quelque chose. Les entraîneurs ne sont souvent pas des évaluations très prudentes et hâtives. Bon, Cremonese n’a jamais gagné dans ce championnat en 12 matchs et ne l’a pas encore fait cette fois, à domicile face à l’Udinese, mais Massimiliano Alvini, vivement désiré par la ds Giachetta, a remporté ce match aux points (et ce n’est pas le premier fois que cela s’est produit), bloquant une équipe qui a un potentiel énorme, avec une qualité offensive décidément supérieure s’il peut se permettre d’insérer son attaquant Beto à la 31e minute de la seconde mi-temps. Au lieu de cela, Alvini, par nécessité, la blessure de Dessers, a dû insérer Buonaiuto après 24 minutes et le milieu de terrain offensif napolitain, jusque-là peu considéré, a fait la différence à sa manière. Le succès à l’attaque est difficile pour n’importe quel adversaire, mais le but ne le regarde tout simplement pas. L’Udinese risque de s’imposer dans la 4′ minute du temps additionnel, mais Deulofeu sort.

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le match

Sottil choisit Arslan à la place de Makengo et confirme Succès en attaque avec Deulofeu. Alvini ressemble un peu à l’Udinese, sauf qu’Okereke (qui a fait ses débuts en Serie A avec Venezia contre les Frioulans) est derrière Dessers dans une sorte de 3-5-1-1. Il n’y a pas de marquage particulier, Pickel et Meitè flanquent Ascacibar dans le médian pour contrer le physique des bianconeri qui démarrent très fort et il faut les meilleurs Carnesecchi pour ne pas déraper tout de suite. Bravo du pied sur Deulofeu qui s’allie avec Pereyra. L’Udinese insiste, fait avertir Meité, mais les conclusions sont à oublier et ne font que réjouir leurs supporters, plus de deux mille, installés dans le Nord qui s’emparent de deux ou trois ballons et affichent à l’entracte une chorégraphie haute en couleur. A 2′ se termine la partie de Dessers, victime d’une foulure. Alvini est obligé de changer et insère Buonaiuto déplaçant Okereke plus loin. Cremo prend confiance et change d’attitude et l’Udinese, qui avait été en totale maîtrise, doit recourir au métier, quitte à risquer quelque chose. Le très actif Valeri, qui pousse tellement à gauche, envoie Okereke sauter haut qui envoie, puis Silvestri checke en confiance, mais à la 44′ une erreur de Bijol risque de coûter cher avec Buonaiuto aux aguets. Le Slovène lui-même remédie dans le coin.

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la récupération

Ça commence avec les mêmes hommes, mais l’Udinese, qui n’a pas aimé en seconde période de la première mi-temps, démarre ballon en main. C’est pour attaquer. Mais le premier danger est quand même créé par Buonaiuto qui boit n’importe qui et oblige Silvestri à coincer avec une super intervention. Puis après 8′ Udinese doit abandonner Lovric comme Cremo en première mi-temps à Dessers : étirement. Sottil ose, insérant la qualité du Samardzic allemand. Et dès le 21, les vrais changements commencent, les tactiques : Alvini lance Escalante et Quagliata pour Meitè et Valeri, Sottil ajoute du poids offensif avec Ehizibue pour Arslan déplaçant Pereyra dans son rôle de mezzala. Mais l’Udinese ne passe jamais, pas de coup de poing, pas de conclusion dangereuse, avec Pereyra, Samardzic et Deulofeu incapables de trouver un jeu. En effet c’est toujours le Cremo qui repart pour s’éclairer : à 29′ il obtient un coup franc frontal que Buonaiuto vire, mais dehors, puis le milieu offensif napolitain frappe toujours à la volée sur un joli centre de Lochoshvili, mais trouvant la jambe d’Ebosse qui il envoie en corner. Sottil joue la carte Beto plus Makengo à la 31′ et relance évidemment Success, physique, mais inoffensif, et Pereyra, pas au top comme en d’autres occasions. A la 37′, Samardzic s’allume du bord mais Carnesecchi bloque en deux mi-temps. C’est le dernier flash d’un match que Cremonese a tiré avec mérite contre un Udinese dans lequel quelque chose et Bra se sont coincés. En effet, non, dans la finale Udinese sur la descente de Samardzic a l’occasion imméritée de la gagner, mais Deulofeu se retire.

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