Nouvelles Du Monde

SC demande à WhatsApp de devenir public

SC demande à WhatsApp de devenir public

La Cour suprême a ordonné mardi à WhatsApp de faire largement connaître son engagement donné au Centre en 2021 selon lequel ses utilisateurs en Inde n’ont pas à accepter sa politique de confidentialité de 2021 pour l’utiliser.

Un banc de cinq juges de la Constitution composé des juges KM Joseph, Ajay Rastogi, Aniruddha Bose, Hrishikesh Roy et CT Ravikumar a demandé à WhatsApp de publier des annonces dans cinq journaux nationaux pour faire connaître son engagement envers le gouvernement central.

Le banc de la constitution a enregistré la soumission de l’application de messagerie mobile qu’ils respecteront les termes de la lettre remise au gouvernement. En 2021 sur le fait que ses utilisateurs indiens ne sont pas tenus d’accepter sa politique de confidentialité 2021,

«Nous enregistrons la position prise dans la lettre (au gouvernement) et nous enregistrons la déclaration de l’avocat principal de WhatsApp selon laquelle ils respecteront les termes de la lettre… jusqu’à la prochaine date d’audience. Nous ordonnons en outre que WhatsApp fasse de la publicité sur cet aspect aux clients de WhatsApp dans cinq journaux nationaux à deux reprises », a déclaré le banc.

Lire aussi  Connecteur client ZScaler : nouvelle vulnérabilité de sécurité ! Plusieurs vulnérabilités signalées

La cour suprême a publié l’affaire pour une nouvelle audience le 11 avril, alors que le Centre l’a informé que le projet de loi sur la protection des données, 2022, sera présenté au parlement dans la seconde moitié de la session budgétaire en cours.

Le Centre avait informé mardi 31 janvier la Cour suprême qu’un nouveau projet de loi sur la protection des données, 2022, serait présenté au Parlement dans la seconde moitié de la session budgétaire.

Le banc entendait des plaidoyers déposés par deux étudiants contestant la politique de confidentialité 2021 de WhatsApp pour partager les données des utilisateurs avec la société mère Facebook et d’autres est une violation de leur vie privée et de leur liberté d’expression.

Deux étudiantes – Karmanya Singh Sareen et Shreya Sethi – ont contesté le contrat conclu entre les deux sociétés pour donner accès aux appels, photographies, textes, vidéos et documents partagés par les utilisateurs en violation de leur vie privée et de leur liberté d’expression.

Lire aussi  Intel affirme que le mystérieux microcode de la "mise à jour de sécurité" de vendredi n'est pas vraiment une mise à jour de sécurité

Facebook
Twitter
LinkedIn
Pinterest

Leave a Comment

This site uses Akismet to reduce spam. Learn how your comment data is processed.

ADVERTISEMENT