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Retour en images sur les performances de Choses Sauvages, Claudia Bouvette et Ghostly Kisses au parc de la Francophonie

Retour en images sur les performances de Choses Sauvages, Claudia Bouvette et Ghostly Kisses au parc de la Francophonie

Finalement, le parc de la Francophonie a été privé de Christine and the Queens et Les Louanges, mais les festivaliers ont eu le temps de se déhancher avant l’orage grâce à Choses Sauvages. • À lire aussi: [EN IMAGES] Mardi noir pour le FEQ: l’organisation forcée d’évacuer les sites et d’annuler les spectacles • À lire aussi: Festival d’été de Québec: LOVA a eu le temps de vivre de grandes émotions Ils ont un appétit bestial pour les rythmes funk, disco et rock qui font bouger, et leur mixture irrésistible a fait son effet. Mission accomplie pour le sextuor Choses Sauvages, ajouté à la dernière minute à la programmation par suite du forfait de Christine and the Queens, annoncé il y a quelques jours. À l’exemple de Valaire (qui devait jouer sur une scène concurrente), pas besoin de connaître à fond leur répertoire pour prendre son pied avec eux. Suffit de se laisser prendre par le rainure et le tour est joué. En plus de ses mélodies addictives, la formation montréalaise dispose d’un atout de taille, le chanteur Félix Bélisle, bête de scène et hôte hors pair «de ce gros disco party comme de mon temps». Ses déhanchements débridés, son look glam et son désir de tout laisser sur les planches en font le point de mire. Malheureusement, dame Nature s’en est mêlée et leur prestation a été écourtée. Claudia Bouvette: charmeuse électro-pop «Est-ce que vous êtes chaud, au Festival d’été? Dans tous les sens du terme.» Toute de rouge scintillant vêtue, Claudia Bouvette a joué la carte de la séduction lors de son deuxième concert en deux ans au Festival d’été. Précision: deuxième tentative, puisque sa prestation avait été stoppée par un orage l’an dernier. Cette fois, elle l’a échappé belle. C’est le soleil qui prévalait quand elle est montée sur scène et ça tombe bien parce que son électro-pop se savoure mieux dans un contexte estival. Comme Ghostly Kisses avant elle (voir plus bas dans notre critique), Claudia Bouvette est une Québécoise qui a choisi de chanter principalement en anglais, mais qui a récemment décidé de «s’abandonner» au français. Bouvette a ainsi présenté Mlle Blumefeld qu’elle a livrée à la guitare, et ça nous amène à décréter que la langue de Leclerc, dans un cas comme dans l’autre, leur sied à merveille. Le fait saillant de son tour de chant a cependant été quand elle a ressorti des boules à mites Amour point zéro une chanson de Mixmania qui a fait réagir beaucoup de monde au parterre, et même dans l’espace réservé aux médias. Ghostly Kisses: infinie délicatesse Même s’il a été conçu à Québec et qu’il compte des adeptes sur plusieurs continents, le duo Ghostly Kisses a vécu son baptême de Festival d’été en début de soirée. Margaux Sauvé, tête pensante de ce projet, et sa moitié Louis-Étienne Santais étaient en territoire conquis. Dès les premières notes de Ciel, attends les spectateurs, parmi lesquels la chanteuse a «reconnu plein de visages», ont manifesté avec vigueur leur appui. Avec raison. Au-delà du chauvinisme, il y avait devant nous une proposition artistique originale et de qualité. Avec une grande délicatesse et dans son habituelle ambiance éthérée, Ghostly Kisses a offert un survol impeccable de dix titres, dont Comme un saule, première création originale en français qu’ose Sauvé, la superbement arabisante Merles et une relecture à ras le cœur de J’ai demandé à la lune.

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Finalement, le parc de la Francophonie a été privé de la participation de Christine and the Queens et Les Louanges, mais les festivaliers ont eu l’occasion de se déhancher avant l’orage grâce à Choses Sauvages. • À lire aussi: [EN IMAGES] Mardi noir pour le FEQ: l’organisation forcée d’évacuer les sites et d’annuler les spectacles • À lire aussi: Festival d’été de Québec: LOVA a eu le temps de vivre de grandes émotions Ils ont une grande passion pour les rythmes funk, disco et rock qui font bouger, et leur mélange irrésistible a fait son effet. Mission accomplie pour le sextuor Choses Sauvages, qui a été ajouté à la programmation à la dernière minute en remplacement de Christine and the Queens, annoncé il y a quelques jours. Comme Valaire (qui devait jouer sur une scène concurrente), il n’est pas nécessaire de connaître parfaitement leur répertoire pour prendre du plaisir avec eux. Il suffit de se laisser emporter par leur groove et le tour est joué. En plus de leurs mélodies accrocheuses, le groupe montréalais dispose d’un atout de taille, le chanteur Félix Bélisle, qui est un véritable showman et l’âme de cette grande fête disco depuis mon temps ». Ses mouvements débridés, son look glam et son désir de tout donner sur scène en font la figure centrale. Malheureusement, la météo est venue perturber leur performance qui a été écourtée.

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Claudia Bouvette : séductrice électro-pop « Êtes-vous prêts, Festival d’été ? Dans tous les sens du terme. » Vêtue d’une robe rouge étincelante, Claudia Bouvette joue la carte de la séduction lors de son deuxième concert en deux ans au Festival d’été. Précisons qu’il s’agit de sa deuxième tentative, car sa performance avait été interrompue par un orage l’année dernière. Cette fois-ci, elle a eu de la chance. Le soleil était au rendez-vous lorsqu’elle est montée sur scène, ce qui est parfait car sa musique électro-pop se savoure mieux dans une ambiance estivale. Tout comme Ghostly Kisses avant elle (voir plus loin dans notre critique), Claudia Bouvette est une Québécoise qui a choisi de chanter principalement en anglais, mais qui a récemment décidé de se laisser aller au français. Bouvette a ainsi présenté Mlle Blumenfeld, qu’elle a interprétée à la guitare, et il est indéniable que la langue de Leclerc, dans les deux cas, lui sied à merveille. Le moment fort de son spectacle a cependant été lorsqu’elle a repris la chanson Amour point zéro de Mixmania, qui a suscité beaucoup de réactions dans la foule, y compris dans l’espace réservé aux médias.

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Ghostly Kisses : une délicatesse infinie Même s’il a été créé à Québec et qu’il compte des fans sur plusieurs continents, le duo Ghostly Kisses a vécu son premier Festival d’été en début de soirée. Margaux Sauvé, le cerveau derrière ce projet, et son partenaire Louis-Étienne Santais étaient chez eux. Dès les premières notes de Ciel, attends, les spectateurs, parmi lesquels la chanteuse a « reconnu beaucoup de visages », ont manifesté vigoureusement leur soutien. À juste titre. Au-delà du chauvinisme, nous étions témoins d’une proposition artistique originale et de qualité. Avec une grande délicatesse et dans son ambiance éthérée habituelle, Ghostly Kisses a offert un aperçu impeccable de dix titres, dont Comme un saule, sa première création en français osée par Sauvé, Merles de belle inspiration orientale et une relecture émouvante de J’ai demandé à la lune.
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