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Plan du Cabinet contre la crise de l’asile : plus d’argent, plus de logements, pas d’arrêt de l’asile

Plan du Cabinet contre la crise de l’asile : plus d’argent, plus de logements, pas d’arrêt de l’asile

Cela ressort d’un projet d’accord entre le cabinet et les municipalités aux mains des rédacteurs politiques de RTL Nieuws. L’accord administratif a été négocié ces derniers jours, discuté hier au Conseil de sécurité et est sur la table aujourd’hui en Conseil des ministres.

Deuxième emplacement à Ter Apel

Il y a une crise d’accueil aux Pays-Bas depuis des semaines. C’est surtout le chaos au centre d’inscription de Ter Apel. L’intention est que les nuits dehors à Ter Apel se terminent dès que possible. Il y aura un deuxième emplacement près de Ter Apel, dans une commune voisine. Les demandeurs d’asile doivent y être accueillis puis se rendre à Ter Apel pour s’enregistrer.

Ter Apel restera une “zone à risque pour la sécurité” jusqu’au 1er octobre, afin que la police puisse effectuer une perquisition préventive. De plus, une ordonnance d’urgence pour l’ensemble de Ter Apel est envisagée, afin que les gens puissent être renvoyés pour éviter le chaos. Une ordonnance d’urgence ne permet aux personnes d’entrer dans la zone que pour s’inscrire ou si elles ont accès à des abris.

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Plus de soins d’urgence en cas de crise

Chaque région de sécurité mettra en place 225 places supplémentaires en abri d’urgence de crise. Le gouvernement national paie pour cet abri d’urgence et tous les coûts qui y sont associés. Cet abri de crise est temporaire, l’intention est que l’abri d’urgence de crise soit progressivement supprimé avant le 1er janvier 2023.

Outre les soins d’urgence en cas de crise, le cabinet souhaite également privilégier les lieux d’accueil plus petits. Lors de consultations entre les municipalités et le cabinet, il a été convenu que les emplacements proposés par les municipalités ne doivent pas répondre aux normes normales d’accueil des demandeurs d’asile. L’exigence minimale sera : sûre et hygiénique.

Maisons pour les personnes qui peuvent rester

En plus de l’aide d’urgence, les municipalités doivent mettre à disposition beaucoup plus de logements pour les demandeurs d’asile qui reçoivent un permis de séjour, les soi-disant “titulaires de statut”. L’objectif est de loger 20 000 titulaires d’un statut avant cet automne. Reste à savoir si cela va réussir : depuis des années, les communes n’ont pas atteint les objectifs en matière de logement. Le gouvernement veut des logements plus flexibles et des maisons partagées. 37 500 flex homes doivent être construits avant fin 2024.

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Avant le 1er octobre, le cabinet va introduire une loi d’urgence pour contraindre les municipalités à accepter un certain nombre de demandeurs d’asile.

Les plans stipulent que les municipalités peuvent échanger. Par exemple, une commune pourrait mieux mettre en place un centre pour demandeurs d’asile et une autre commune pourrait héberger des titulaires de statut. Les municipalités peuvent ainsi se relayer les unes les autres. Les provinces auront un rôle explicite dans la division entre les municipalités, mais d’autres accords doivent encore être conclus.

Restrictions d’afflux

Il n’y aura pas d’arrêt d’asile pour le moment, selon les documents entre le cabinet et les municipalités. Le secrétaire d’État responsable Van der Burg aurait besoin de plus de temps.

Selon des sources, le cabinet discute déjà aujourd’hui de diverses options. L’une des options est l’arrêt temporaire du regroupement familial. Les demandeurs d’asile titulaires d’un permis de séjour ne sont autorisés à faire venir leur famille que s’ils se sont effectivement vu attribuer un logement.

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15 millions d’euros sont consacrés à un projet d’expulsion plus rapide des demandeurs d’asile importuns. Des fonds supplémentaires sont également mis à disposition pour les cours d’intégration, car on s’attend à ce que le nombre de personnes qui s’intègrent augmente.

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