Nouvelles Du Monde

Pas d’expulsion pour l’instant, les étudiants indiens au Canada feront l’objet d’un examen

Pas d’expulsion pour l’instant, les étudiants indiens au Canada feront l’objet d’un examen

Dans un contexte de pandémie mondiale, les étudiants indiens qui poursuivent leurs études au Canada peuvent enfin respirer temporairement. Alors que la crainte de l’expulsion pesait sur eux, une annonce récente vient apaiser leurs inquiétudes. En effet, les autorités canadiennes ont décidé de ne pas procéder à des expulsions pour le moment et ont opté pour un examen attentif de chaque cas. Cette décision offre un certain répit aux étudiants indiens, qui étaient confrontés à la possibilité d’un retour forcé dans leur pays d’origine. Cependant, cet examen se prépare à devenir un processus crucial pour déterminer le sort de ces étudiants, alors que l’avenir de leurs études et de leur vie au Canada reste incertain. Dans cet article, nous discuterons de cette décision, de son impact sur les étudiants indiens et des défis auxquels ils pourraient faire face dans les prochains mois.

Les autorités canadiennes ont décidé de ne pas expulser immédiatement les étudiants indiens qui ont été piégés dans une prétendue escroquerie à l’immigration et qui ont atteint le pays avec de fausses lettres d’admission à l’université.

Un groupe de travail a été formé pour examiner chaque cas et aider les victimes de la fraude, a annoncé mercredi le ministre de l’Immigration du pays, Sean Fraser.

« Les étudiants internationaux, qui sont de véritables candidats venus au Canada pour étudier et qui ont été victimes de fraudeurs, seront autorisés à rester au Canada. Ceux qui sont complices d’un stratagème frauduleux en subiront toutes les conséquences en vertu de la loi canadienne », a-t-il déclaré.

Lire aussi  Le comté de LA confirme les premiers cas humains de virus du Nil occidental de l'année

Les déportations imminentes ont été interrompues au cours de ce processus d’examen, a ajouté Fraser.

Le gouvernement canadien avait suspendu la semaine dernière l’expulsion des étudiants, quelques jours après qu’ils soient descendus dans la rue contre la possibilité d’un départ forcé vers leur propre pays. Cependant, on ne savait pas quel était le prochain mouvement et combien de temps durerait le soulagement.

L’Agence des services frontaliers du Canada avait récemment émis des lettres d’expulsion à environ 700 étudiants indiens, principalement du Pendjab, après avoir découvert que leurs lettres d’admission dans les universités canadiennes étaient fausses.

La plupart de ces étudiants sont arrivés au Canada en 2018, mais ont affirmé que le problème des fausses lettres n’a fait surface qu’après cinq ans lorsqu’ils ont demandé la résidence permanente.

La question s’est répercutée au Parlement canadien où le Premier ministre Justin Trudeau a déclaré que son objectif était “d’identifier les coupables et non de pénaliser les victimes”.

Lire aussi  Les dégâts routiers gênent la circulation sur l'A4 près de Nossen

“Les victimes de cette fraude auront l’occasion de manifester et de présenter des preuves pour leur cas. Nous reconnaissons les immenses contributions que les étudiants internationaux apportent à notre pays”, avait déclaré Trudeau.

Le ministre des Affaires étrangères S Jaishankar avait déclaré plus tôt que le gouvernement avait abordé la question avec les autorités canadiennes. Il avait dit que les Canadiens étaient d’accord qu’il serait injuste (d’expulser) si les étudiants n’avaient rien fait de mal.


#Pas #dexpulsion #pour #linstant #les #étudiants #indiens #Canada #feront #lobjet #dun #examen

Facebook
Twitter
LinkedIn
Pinterest

Leave a Comment

This site uses Akismet to reduce spam. Learn how your comment data is processed.

ADVERTISEMENT