Les parties conviennent également d’une déclaration d’intention concernant les horaires de travail. Il s’agit par exemple de revoir la nécessité d’adapter les horaires de travail aux besoins des différentes entreprises et de garantir les règles de sécurité des salariés.
– Nous sommes d’accord avec Kommunal pour lancer des discussions prospectives sur les règles du temps de travail dans le secteur social. Il s’agira d’un certain nombre d’initiatives différentes, par exemple comment davantage de personnes voudront et pourront travailler à temps plein, comment les horaires de travail peuvent être ajustés pour mieux gérer le personnel et la qualité tout en garantissant que les horaires de travail soient durables, dit Ulf Olsson.
Dans le domaine des services d’urgence, les parties conviennent également d’offrir aux employeurs des possibilités accrues de planifier des événements dits rares, tels que des séances d’entraînement et de formation, sans avoir à demander de dérogation. Pendant la durée de l’accord, les parties procéderont également à une révision générale tant de la procédure d’exonération que des règles relatives au temps de travail.
Révision de l’accord salarial central
Concernant le processus salarial, les parties entendent procéder à une révision de l’accord salarial central et de son application dans le but de produire une base commune pour les futures négociations contractuelles.
– Nous avons un objectif commun : les partis centraux devraient assumer une plus grande responsabilité dans la formation des salaires. Chaque employeur doit disposer de lignes directrices en matière de politique salariale à long terme qui sont également connues et discutées avec les employés de l’organisation. Il doit être clair tant pour les employeurs que pour les employés que le salaire varie en fonction de la réalisation des objectifs et des résultats de l’employé, explique Sten Nordin.
