New York, 6 février (EFE).- La ville de New York cessera d’exiger que ses employés publics soient vaccinés contre le covid-19 à partir de vendredi, un changement de politique qu’elle attribue au taux de vaccination élevé et qui ouvre la porte à sa presque 1 800 anciens travailleurs licenciés pour ne pas avoir fourni de preuve d’immunisation.
L’ordonnance de vaccination des fonctionnaires émise fin 2021 par l’ancien maire Bill de Blasio a conduit à un taux de vaccination de 96% dans la population active publique locale – quelque 331 000 employés – mais s’est heurtée à une certaine résistance à l’époque, ce qui s’est traduit par une série de procès et s’est finalement soldée par 1 780 licenciements, ceux qui ont refusé de se faire vacciner après de multiples avertissements.
Dans un communiqué, l’actuel maire, Eric Adams, a annoncé que la vaccination contre le covid-19 sera facultative pour tous les fonctionnaires “actuels et futurs”, y compris les travailleurs du système d’éducation publique de la ville et également ceux des centres privés tels que les écoles, crèches et accueil de la petite enfance.
Les visiteurs des écoles ne seront pas tenus de présenter une attestation d’au moins une dose de vaccin, comme c’était le cas jusqu’à présent.
En cuanto a los despedidos, la administración señala que los 1.780 extrabajadores que no aportaron prueba de vacunación “no podrán volver automáticamente a sus puestos previos” pero sí “solicitar puestos en sus antiguas agencias a través de las normas, regulaciones y procesos de contratación existentes dans la ville”.
Adams a déclaré que 80% des New-Yorkais sont immunisés avec les doses initiales contre le coronavirus et a estimé qu’avec plus d'”outils” de santé publique, c’est le “bon moment pour prendre cette décision”, bien qu’il ait continué à encourager la population à se faire vacciner, obtenir des doses de rappel et prendre des précautions.
La levée de l’une des mesures américaines les plus strictes contre le covid-19 -qui avait initialement son épicentre à New York- intervient des mois après la suppression de l’obligation de vaccination pour le secteur privé, également controversée, et dont les restaurants de la ville l’ont supprimée pour consommation à l’intérieur.. EFE
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