Des tubes à essai étiquetés «Monkeypox virus positif et négatif» sont visibles sur cette illustration prise le 23 mai 2022. REUTERS/Dado Ruvic/Illustration
Le département de la santé publique de Los Angeles a déclaré lundi qu’il avait confirmé le premier décès dans la région dû au monkeypox, affirmant que l’individu était gravement immunodéprimé et avait été hospitalisé.
Le département a déclaré qu’il avait déterminé que le décès dans le comté de Los Angeles était dû au monkeypox avec les Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis, qui n’ont pas immédiatement répondu à une demande de commentaire.
“Le résident était gravement immunodéprimé et avait été hospitalisé”, a indiqué le département dans un communiqué.
Il s’agit du deuxième décès connu d’une personne diagnostiquée avec la maladie aux États-Unis. Le mois dernier, le Texas a signalé le premier décès d’une personne gravement immunodéprimée chez qui on avait diagnostiqué la variole du singe.
Le cas du Texas fait toujours l’objet d’une enquête pour déterminer le rôle joué par la variole du singe dans la mort.
Le monkeypox est rarement mortel, mais les personnes dont le système immunitaire est affaibli peuvent être plus susceptibles de tomber gravement malades ou de mourir, selon les responsables de la santé.
N’importe qui peut être infecté par le monkeypox, qui se propage par contact étroit avec une personne infectée. Selon le CDC, presque tous les plus de 21 985 cas de monkeypox aux États-Unis sont survenus chez des homosexuels, des bisexuels et d’autres hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes.
