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Loma Prieta – Dernier – HeavyPop.at

Loma Prieta – Dernier – HeavyPop.at

2023-07-14 22:19:54

par Olivier
le 14 juillet 2023
dans l’album

colline sombre avoir après Autoportrait Il a fallu huit ans pour terminer leur sixième album studio – non seulement parce que (Sean Leary seul) d’innombrables autres terrains de jeux voulaient (d) être servis par les personnes impliquées, mais parce que Dernier maintenant aussi bien au-delà du cri habituel.

De son vieux pote Jack Shirley à la sans aucune fioriture Studios de jardin atomiques capturé, est Dernier plutôt un kaléidoscope tournant autour du genre traditionnel des Californiens, le colline sombre d’une part, aussi accessible que jamais – il suffit de le regarder Dose, qui affiche pratiquement une attitude indie exaltante et optimiste, et siffle de bonne humeur et détendue à travers la mélodie facile à vivre et exaltante des éclosions Post Hardcore; le rock accrocheur Symbiosequi est prog-ambitieux et déballe soudainement le chant des années 90 merveilleusement sympathique, qui est plus de Construit pour déborder, Le plan de démembrement ou similaire pourrait s’attendre à le serrer dans ses bras plus constamment; ou le si utile Sans rêve dans sa franchise pleine d’espoir, comme si un Île des crocs-Euphorie aux purs Japondroïdes– Blottissez-vous à une vitesse vertigineuse.

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Développé en conséquence directe Dernier mais d’autre part aussi une gamme variable, dont la polyvalence divertissante ne transmet rien d’indécis, mais plutôt son caractère homogène comme coulé dans un grand flux avec le cri traditionnel comme colonne vertébrale – ce qui est peut-être le plus clair dans l’urgence désespérée, dure beauté de Sunlight (au vu de l’orientation relativement conventionnelle, ce n’est pas par hasard le premier single – mais seulement dans une mesure très limitée représentatif de l’ensemble de l’œuvre… bien qu’il ne s’agisse pas d’une mauvaise piste – ce qui est assez symptomatique de la nature multicouche du disque) est distillé à la racine – toujours modifié à nouveau.

Après Séquence déplace ses courtes boucles atmosphériques vers l’arrière comme une intro, gronde AINS méditant de manière contemplative sur la mélancolie avec un piano nostalgique, après un peu moins d’une minute, il appuie sur la pédale d’accélérateur en forme d’hymne et chasse un tumulte subversif en arrière-plan, oui, des harmonies indulgentes et des textures carrément avant-gardistes. Feu en noir et blanc explose l’overdrive comme un noise rock édifiant, s’abandonne à des oasis apaisantes, pour se balancer avec exubérance dans une distorsion grésillante, pendant ce temps Unique (Partie 2) Des essences d’emo et de rock alternatif assimilées. Tout cela se passe si naturellement, sans contorsions – et ne sent donc même pas que cela exige une ouverture d’esprit particulière de la part de l’ami le plus réactionnaire du genre.

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Scie circulaire rend ses guitares étincelantes plus paisibles et rêveuses football américain récite et explose dans les derniers mètres sur un twist saccadé piqué par la tarentule devant elle-même Éblouissement la rêverie post-rock implorant avec dévotion se dresse, se frotte sur un panorama béat, pour Et donc je te regarde de loin-Faire tourner les associations à l’arrière d’une répétition mathématique, et plus SARL à nouveau pratiqué indie avec du kérosène dans les veines, avec des muscles tendus rugissant jusqu’à colline sombre dire au revoir à l’ambiant et accepter ainsi tant de marques de fabrique dans le son familier qui l’entoure – autour d’énergies de batterie grandioses, de crescendos de guitare intenses et de cordes vocales passionnément brûlantes – comme une étape logique de l’évolution du groupe : les contrastes interagissent sans contours nets, les extrêmes sont (ce qu’on peut certainement aussi trouver dommage à certains égards) a cédé la place à une synergie en douce mutation dont l’agressivité produit des endorphines, et au final c’est un passage de frontière vers de nouveaux horizons qui ne provoque pas de fronts, mais au contraire la catharsis agressive est juste très amusante.

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