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L’Inter étend son avance : la Juve suit le rythme, pour Milan et Naples, un match nul inutile

L’Inter étend son avance : la Juve suit le rythme, pour Milan et Naples, un match nul inutile

2023-10-30 09:57:17

« Détruisons-le psychologiquement » était leur manifeste programmatique et il faut dire que, malgré les interdictions risibles de la préfecture de police milanaise, ils y ont parfaitement réussi puisque Big Rom, après de premiers applaudissements ironiques en réponse aux huées, a disparu comme un fantôme d’Halloween. . Sa justification partielle est la passivité absolue de l’équipe de Mourinho, toujours coincée dans sa moitié de terrain pour défendre un score sans but que Thuram, bien servi par Dimarco, transformera en la huitième victoire (sur dix) de l’équipe d’Inzaghi. Un pas vers le championnat ? On pourrait dire oui, mais avec une concurrence aussi forte, la prudence est de mise

Le faible avantage ne doit pas être trompeur. En plus du but de Thuram (le cinquième de la saison), l’Inter a également touché deux poteaux avec Calhanoglu et Carlos Augusto mais n’a pas réussi à clôturer un défi qui n’a repris que dans les dernières minutes lorsque la Roma s’est réveillée de sa torpeur en touchant le poteau avec Cristante. Mourinho, dans les tribunes à côté des journalistes pour la disqualification (qui veut changer de métier ?) Mou a eu le meilleur de la malchance, devant abandonner sept joueurs, dont Pellegrini et Dybala. Une tactique défaitiste, également dictée par les efforts de la coupe de jeudi, qui a permis aux Nerazzurri de franchir facilement l’obstacle, dépassant une fois de plus la Juventus, une fois de plus protagoniste malgré tous ses méfaits réels et présumés.

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La vengeance d’Allegri

Oui, car la Juve, qui n’a rien eu à faire en matière de scandales (le dernier étant celui des paris), a une capacité extraordinaire à se relever comme si, au final, le gouffre l’avait repoussée.

Même avec Vérone, coulé à la 97e minute, il y avait les conditions pour un samedi à oublier. Ces deux buts refusés aux portes du VAR contre un Kean extraordinaire, ce coup constant contre une porte qui ne s’est jamais ouverte. Et puis l’obstination de Vérone, jamais aussi combative jusqu’à la septième minute du temps additionnel, lorsque Cambiaso, lors de la dernière attaque, lançait le ballon libérateur. Pas une Juve fascinante, certainement. Mais il faut admirer sa détermination, que ne pas abandonner cela fait la différence. Pour souligner la robustesse défensive. Sept matchs sur dix sans encaisser de but signifient quelque chose. Ils signifient solidité, fermeté des nerfs et des jambes. Et même s’il n’enchante pas par son imagination et sa construction, qui rappelle une réinterprétation moderne de notre vieux football des années 60, au final ça marche. Du moins à ce niveau. En Europe, cependant, la musique change. Mais ce n’est pas le problème d’Allegri, désormais parfaitement à l’aise dans la version autarcique qui le met à l’abri de comparaisons bien plus risquées.

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De retour sur la vague, Allegri peut désormais prendre sa revanche auprès des professeurs de beau football qui ont toujours été contre lui. La seule objection imputable à l’entraîneur est que, malgré les blessures et les imprévus, il dispose toujours d’un effectif enviable. du petit Calimero (blanc) noir, face au pouvoir excessif des autres grands noms, ressemble beaucoup à une moquerie ou à une pré-tactique des temps passés.



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