Le parlement indonésien a présenté une loi sur la confidentialité des données comme première motion des mois après avoir rencontré plusieurs violations dans le pays d’Asie du Sud-Est.
Mardi, les législateurs indonésiens passé le projet de loi sur la protection des données personnelles en délibéré depuis plus d’un an. Avec cette loi, les gestionnaires de données pourraient devenir responsable jusqu’à cinq ans de prison pour fuite ou utilisation abusive d’informations privées. Les personnes qui falsifient des données personnelles pour leurs gains pourraient également être emprisonnées jusqu’à six ans en vertu de la législation.
De plus, la loi prévoit des amendes pouvant atteindre 2 % du chiffre d’affaires annuel de l’entreprise en cas de fuite de données. Les actifs de l’entreprise qui divulguent des données personnelles pourraient également être confisqués ou vendus aux enchères.
La nouvelle loi fait suite à un certain nombre de fuites de données et de violations présumées qui ont touché non seulement des individus, mais également diverses entreprises et le gouvernement du pays. L’année dernière, une application de recherche de contacts fuite Dossiers de vaccination COVID du président indonésien Joko Widodo.
Avec cette nouvelle décision, l’Indonésie est devenue le cinquième pays de la région de l’Asie du Sud-Est à disposer d’une législation spécifique sur la protection des données personnelles après Singapour, la Malaisie, la Thaïlande et les Philippines.
Comme l’Indonésie, l’Inde fait régulièrement face à des incidents liés à la sécurité des données personnelles. Le pays, cependant, n’a pas encore introduit de législation sur la protection des données personnelles. Le mois dernier, il a retiré son projet de loi sur la protection des données personnelles anticipé qui a attiré l’attention des géants de la technologie.