Nouvelles Du Monde

L’hormone qui vous fait préférer le sexe à l’alimentation et ce qui vous fait choisir des aliments gras : comment ils fonctionnent – Corriere.it

L’hormone qui vous fait préférer le sexe à l’alimentation et ce qui vous fait choisir des aliments gras : comment ils fonctionnent – Corriere.it

2023-06-14 10:05:31

De Elena Méli

Toutes les molécules qui influencent le contrôle du poids, de l’humeur, du plaisir. Comment ils agissent et comment influencer leurs mécanismes

Manger ou se reproduire ? Chez les souris affamées, lorsqu’elles sont stimulées par l’hormone leptine, le désir de nourriture passe au second plan et tu préfères le sexe: on l’a prouvé recherche de l’Université de Cologne en Allemagneque cette hormone coupe-faim est si puissante qu’elle rend l’accouplement préférable à la frénésie lorsque les souris ont un appétit modéré. Si, au contraire, la restriction alimentaire est rigide et prolongée, il n’y a pas de leptine qui tienne et manger passe avant tout.

Hormones de la faim et satiété

La leptine produite par le tissu adipeux, de sorte que lorsqu’il y a suffisamment de graisse corporelle, il y en a une bonne quantité en circulation et nous ne ressentons aucun appétit ; chez les personnes obèses, la leptine abonde mais en raison d’une plus grande inflammation générale des tissus, il existe une grande résistance à son action anti-faim. L’hormone opposée ghréline qui est produit dans l’estomac lorsqu’il est vide, donc presque toujours en dehors des quelques heures quotidiennes pendant lesquelles il participe à la digestion, et un stimulant puissant pour manger, notamment les sucres. Contrairement à la leptine, la ghréline et les autres régulateurs de l’appétit sont presque perpétuellement exprimés car l’évolution a favorisé des réponses visant à accumuler de l’énergie et des nutriments pour surmonter les famines ; nous ne pouvons les faire taire qu’avec un style alimentaire correct. Pour réguler le désir de nourriture il y a alors leinsuline, une hormone fondamentale qui contrôle l’apport et la gestion du glucose, premier carburant de l’organisme et surtout du cerveau, qui ne peut pas s’en approvisionner et a une dépense énergétique élevée par rapport aux autres organes. L’insuline est produite par le pancréas après l’apport de sucre et de glucides en général, de sorte que le glucose dans la circulation peut être absorbé par les cellules et utilisé comme source d’énergie ou, s’il est trop important, stocké sous forme de graisse. Quand on exagère avec les glucides, beaucoup d’insuline est produite, la glycémie baisse rapidement, le cerveau sent qu’il manque d’énergie et donc la faim se déclenche. Pour qu’un régime fonctionne, il doit donc maintenir relativement taux constants de sucre dans le sang et d’insulinece qui contribue également au sentiment de satiété dans le cerveau : même si l’insuline dans la circulation baisse trop, par exemple parce que peu de glucides sont introduits, la faim augmente.

Lire aussi  «Je dois rester en bonne santé pour la messe de Pâques»
Le stress est le bienvenu

Les niveaux de stress et de bien-être affectent également les chances de succès d’un régime : le cortisoll’hormone produite par les glandes surrénales en réponse à stressconduit par exemple à rechercher des aliments, notamment riches en calories tels que graisses et sucreset favorise l’accumulation de graisse. Au contraire le sérotonineAppelé le neurotransmetteur du bonheur, il favorise la satiété et aide à réduire la quantité de nourriture ingérée, ce qui vous donne envie de plus de protéines au lieu de glucides. Quand nous sommes heureux, nous avons donc moins faim ; soi le régime me rend triste, apparaît une envie irrépressible de glucides qui va à l’encontre de toute possibilité de perte de poids. Une grande partie de la sérotonine est produite dans l’intestin : la qualité de l’alimentation choisie est donc importante car elle influence l’humeur. Les légumes, par exemple, fournissent la bonne fibre pour développer de bonnes bactéries intestinales et ont donc une production adéquate de sérotonine et une réduction de l’inflammation chronique, ce qui aide à la bonne humeur, combat le stress et réduit la tristesse liée à l’alimentation.

Lire aussi  La radiothérapie en Tunisie : défis et solutions pour réduire les temps d'attente
Vérifier la dopamine

Comme la drogue ou même le sexe, la nourriture stimule les centres du plaisir et augmente la libération de dopamine, un neurotransmetteur lié à la gratification. Ne pas tenir compte du fait que manger doit aussi être un plaisir peut conduire à l’échec de tout régime : se priver de tout ce que l’on aime rend impossible le respect des règles alimentaires et implique surtout malaise de type sevrage qui favorise le craving, le désir incontrôlé de quelque chose qui vous fait du bien. Par conséquent, nous avons tendance à manger plus souvent malbouffedès que possible, ce qui favorise l’apparition de ce que l’on appelle les crises de boulimie, crises de boulimie : un risque qui, d’ailleurs, augmente avec le nombre de tentatives de régime strict, car la frustration augmente et, en même temps, l’incapacité à contrôler les pulsions qui à la recherche de plaisir interdit.

#Lhormone #qui #vous #fait #préférer #sexe #lalimentation #qui #vous #fait #choisir #des #aliments #gras #comment #ils #fonctionnent #Corriere.it
1686728284

Facebook
Twitter
LinkedIn
Pinterest

Leave a Comment

This site uses Akismet to reduce spam. Learn how your comment data is processed.

ADVERTISEMENT