Nationale 1 masculine. Le succès dans le derby (24-19) avait redonné un peu d’espoir aux joueurs de David Motyka. Mais Metz Handball, privé de Frederic Langhoff, est retombé dans ses travers. Match nul à Sélestat, la lanterne rouge, défaite face à Créteil, avant-dernier… Les contre-performances s’accumulent avant un déplacement à hauts risques à Vesoul (4e).
« Depuis début janvier, c’est un peu plus compliqué », reconnaît l’entraîneur messin. « On a enchaîné pas mal de bobos, qui nous ont fait tomber dans une spirale de défaites. On a du mal à relever la tête, on est en perte de confiance », décrit David Motyka. « On a retrouvé des valeurs défensives contre Folschviller mais juste sur soixante minutes. Ce manque de confiance nous fait perdre trop de ballons et rater beaucoup de tirs. Notre objectif, c’était la première partie de tableau et j’aimerais que les mecs se battent jusqu’à la fin pour l’atteindre. »
Pour se maintenir en N1, Folschviller doit s’imposer à Créteil ce samedi (18h) et espérer doubler Ivry, qui compte deux points de plus.
Nationale 2 masculin. Après avoir écarté leur dauphin, Plobsheim, les Thionvillois comptent quatre longueurs d’avance sur leur nouveau poursuivant, Cernay. Le chemin vers la N1 est grand ouvert. À condition de rester sérieux et d’engranger les quelques points qu’il manque. Cela commence face à Marckolsheim ce samedi (20h30) à domicile.
Nationale 3 masculin. Comme il n’y a pas de fumée blanche du côté de la commission de discipline après les incidents à Soultz, le P2H Longwy n’a pas le choix s’il veut passer devant Mamirolle pour accéder à la N2. « On est obligé de tout gagner, les cinq derniers matchs, quoi qu’il se passe », résume l’entraîneur Yann Farnier, avant d’affronter Chalon-sur-Saône ce samedi (20h30).
Dernier, Amnéville en est aux mêmes calculs mais pour son maintien et un succès est déjà obligatoire, ce samedi (20h15), contre Bogny, 9e avec onze points d’avance.
