Si, lors de la Coupe du monde au Qatar, dans le groupe C, le Mexique n’avait pas encaissé de but de l’Arabie saoudite dans le temps imparti, un critère auxiliaire spécial – le nombre de cartons jaunes – aurait décidé du passage entre eux et la Pologne à l’étape suivante. . Avec exactement le même score et le même match les uns contre les autres, c’est la discipline lors du précédent championnat 2018 en Russie qui a fait avancer le Japon aux dépens du Sénégal. La manière la plus juste de décider d’un bilan équilibré est toujours recherchée.
D’un point de vue sportif, une rediffusion apparaît comme la plus juste. Que cela se décide sur le terrain dans un combat direct. Mais par manque de temps, quand les grands tournois ont des dates bien définies, ce n’est pas possible.
Un duel à répétition aurait peut-être sa place s’il avait lieu dès le lendemain, comme c’est le cas dans les courses de coupe, lorsque la rencontre est annulée par des circonstances naturelles ou techniques inattendues.
Mais cela ne fonctionne pas du tout, et les médecins conviennent qu’il est médicalement impossible pour les footballeurs de récupérer suffisamment et de commencer le lendemain.
Dans l’histoire des championnats du monde, des matchs répétés peuvent être trouvés, et en nombre assez décent. Avant que les tirs au but ne soient introduits après trente minutes de prolongation, ils sautaient après chaque match nul des huitièmes de finale.
En 1934, lors de la Coupe du monde en Italie, il y a eu une rediffusion du quart de finale Italie – Espagne (1:1 et 1:0), quatre ans plus tard en France, il y en a eu trois : Suisse – Allemagne (1:1 et 4:2), Cuba – Roumanie (3:3 et 2:1) et pour la chronique tchécoslovaque le mémorable quart de finale entre le Brésil et la Tchécoslovaquie (1:1 et 2:1).
À partir de la Coupe du monde de 1950 au Brésil, il est de nouveau passé aux groupes de base, où les égalités pouvaient être prises en compte plus habilement dans le tableau final sans avoir besoin de combats supplémentaires, mais assez inexplicablement, contrairement au bon sens et à une vision sportive, FIFA n’a pas tenu compte du score ou du score mutuel d’origine en cas de même nombre de points de lutte.
Elle a appelé cela une égalité, en 1954 en Suisse, la République fédérale d’Allemagne et la Turquie se sont rencontrées à nouveau après six jours (4: 1 et 7: 0) et la Suisse et l’Italie au même intervalle de temps (2: 1 et 4: 1) .
Il faut se rappeler que dans ce tournoi, encore plus inexplicable, il ne s’est pas affronté dans le groupe de base, mais seulement deux matches. Cependant, ce fut l’espace d’une rencontre décisive.
Pour cette raison, trois matches du Mondial de 1958 en Suède ont dû être répétés, même si tous les participants s’étaient déjà rencontrés dans les groupes de base. Après le match nul initial (1:1), le Pays de Galles a battu la Hongrie (2:1), l’Union soviétique a battu l’adversaire (1:0) après un match nul avec l’Angleterre (2:2).
La confusion sur la validité de ce critère a ensuite été causée par le duel répété entre l’Irlande du Nord et la Tchécoslovaquie. Les Irlandais ont gagné 1:0 lors du premier match, mais la sélection de l’entraîneur Karel Kolský a obtenu un bien meilleur score, ce qui s’est traduit par une victoire élevée contre l’Argentine – très active 8:4, contre l’Irlande du Nord passive 4:5. Cependant, il a été rejoué, deux jours après le dernier match, l’Irlande du Nord s’est imposée 2-1 après prolongation.
Les critères ajoutés ne permettaient alors plus de duels répétés onéreux, en cas d’égalité dans la partie éliminatoire, les tirs du point de penalty décident. Et dans le groupe de base, le nombre de cartons jaunes récoltés.
Si cet objet est également le même, la loterie arrive…
La source: FIFA
