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Les urgences en difficulté avec des médecins « en fuite » et des patients en attente d’hospitalisation. Et ils pourraient “exploser” après Noël – Corriere.it

Les urgences en difficulté avec des médecins « en fuite » et des patients en attente d’hospitalisation.  Et ils pourraient “exploser” après Noël – Corriere.it

2023-11-17 15:13:19

De Maria Giovanna Faiella

Alerte du président Simeu : «Le nombre de patients âgés arrivant avec le Covid augmente». La surpopulation des urgences est affectée par le manque de personnel et un accès inapproprié. Dans une ED sur trois (surtout au Nord), les coopératives assurent en moyenne 60 équipes par mois.

Des salles d’urgence surpeuplées des patients “garés” sur des civières attendre un lit dans la salle ou dans d’autres établissements ; il s’agit souvent de patients présentant plus de trois pathologies pour lesquels aucun lit n’a été trouvé dans la « bonne » division, mais dans de nombreux cas, il y a patients âgés qui se tournent vers les urgences pour problèmes de protection sociale qui pourraient trouver une solution plus adéquate en dehors de l’hôpital. Et puis: il manque environ quatre mille médecins aux urgenceségal à 40 pour cent des besoins au niveau national, e la tendance à l’abandon se poursuit par les médecins qui y travaillent. Ce sont quelques données qui ressortent d’une enquête réalisée par l’Observatoire National Permanent du Simeu, la Société Italienne de Médecine d’Urgence, sur un échantillon de 137 structures complexes MEU (Médecine d’Urgence), égales à 30 pour cent de celles présentes en Italie ; les données se réfèrent à un échantillon d’accès aux salles d’urgence égal à plus de 6 millions, représentant 30 pour cent de l’activité totale des urgences.

L’enquête

Les données analysées par l’Observatoire Permanent du Simeu, présentées à Rome à l’occasion de l’Académie des Directeurs du Simeu – une réunion opérationnelle entre les chefs de l’hôpital italien et les départements universitaires de médecine d’urgence – mettent en évidence d’une part le pénurie chronique de personnel dans les salles d’urgence italiennes mais aussi les principales caractéristiques
identifiés par les directeurs d’établissements interrogés –
des patients
cqui restent plus fréquemment à bordc’est-à-dire aux urgences en attente d’admission au service.

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Des médecins « en fuite »

L’année dernière plus d’un millier de médecins urgentistes (1033) ont quitté les urgences; Parmi ceux-ci, sept sur dix avez démissionné ou pris votre retraite ou avez déménagé en pratique générale ou en pratique privée, alors que trois sur dix ils ont été transférés dans un autre service hospitalier. Au cours des 12 derniers mois, ils sont entrés aux urgences 567 nouveaux médecinsavec une évidence déséquilibre entre les sortants et les nouveaux entrants, égal à 45 %, donc seulement 55 % sont remplacés. Et la tendance des médecins à « fuir » les salles d’urgence se poursuit, également parce que, comme le rapporte l’enquête Simeu, le niveau élevé de litiges – une affaire pénale ouverte pour douze médecins – est un élément supplémentaire qui n’incite pas à maintenir ou à entreprendre la profession.
Et‘couverture insuffisante des équipes nécessaire par le personnel, génère alors difficultés de gestion des salles d’urgence, également parce que, comme le soulignent les directeurs des structures d’urgence-urgence, les corrections mises en œuvre produisent un fragmentation extrême du personnel au sein des salles d’urgence. Par exemple, l’enquête montre que dans 54 pour cent des ED il y a des contrats atypiques (chaque médecin est occupé en moyenne 4 équipes par mois) ; dans une salle d’urgence sur deux les gestionnaires opèrent médecins non pas des urgences mais d’autres services de l’hôpital, au régime des prestations complémentaires, pour une moyenne mensuelle de 3 équipes ; et encore : jen une salle d’urgence sur trois sont présents des coopératives qui assurent en moyenne 60 équipes par mois (surtout au Nord : 47 pour cent, Centre : 19 pour cent, Sud : 10 pour cent). Fabio De Iaco, président de Simeu, commente : « Si l’on considère qu’une salle d’urgence avec une activité moyenne-basse, pas plus de 30 mille visites par an, doit au moins 300 équipes par moison se rend compte du petite contribution induites par ces solutions, d’où l’extrême difficulté de gouverner les structures”.

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Patients présentant de multiples pathologies et des problèmes sociaux

L’enquête met en évidence un autre phénomène lié à l’accès aux urgences, celui que l’on appelle «embarquement“, ou la « stop » dans la structure d’urgence-urgenceDans de nombreux cas sur une civière, attendant un lit dans la salle. Les directeurs des établissements ont identifié les principales caractéristiques des patients qui séjournent le plus fréquemment en embarquement; en particulier, selon neuf personnes interrogées sur dix, il s’agit les patients ayant des problèmes de protection sociale, qui pourrait trouver un plus solution adéquate en dehors des hôpitaux; deux administrateurs sur trois déclarent être patients présentant plus de 3 pathologies et je suis aux urgences parce que aucun lit n’a été trouvé dans la salle la plus adaptée; enfin, six directeurs PS sur dix affirment que dans de nombreux cas, il s’agit patients âgés de plus de 80 ans sans réseau de soutien, par exemple famille ou soins à domicile.

Accès inapproprié au PS et manque de services dans la zone

Pourquoi un patient qui n’a pas besoin d’une aide immédiate pour des raisons d’urgence et d’urgence se rend-il quand même aux urgences ?
Par exemple, explique le Dr De Iaco : « Leoctogénaire avec de multiples pathologies et le fièvre de 39 il devient un patient délirant, dyspnéique (il a des difficultés à respirer) avec une série de problèmes importants, pour lesquels il se retrouve aux urgences. Et là, il risque d’aggraver son état car il se trouve dans un environnement avec un niveau de pathologie très élevé qui est également contagieux mais qui, dans de nombreux cas, ne peut être contenu dans les salles d’urgence telles que les espaces sont conçus aujourd’hui. La solution? « Donnez à ces patients alternatives de soins possibles dans la région, telles que les soins à domicile ou dans des établissements locauxmaman au même moment Il faut rendre les salles d’urgence plus efficaces – répond le président Simeu -. Comme, comment? Soit par l’intermédiaire d’un augmentation du personnelmais aussi à travers une profonde réinterprétation de l’architecture et des espaces des salles d’urgence actuelles. Agrandir les espaces signifie aussi augmenter la distance entre les patients ; aujourd’hui – dénonce le président Simeu – ils sont là de nombreuses salles d’urgence en Italie dans lequel l’infirmier ne passe pas d’un lit/civière à un autre, par exemple s’il doit changer de perfusion, donc il doit déplacer les civières pour prodiguer des soins même urgents».

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L’accès aux urgences des patients âgés atteints de Covid augmente

Et la situation risque d’exploser avec le prochain pic de grippe saisonnière. Le président du Simeu rapporte : « Ces jours-ci, dans diverses régions Les patients Covid coincés aux urgences augmentent, qui doit évidemment être séparé des autres. Nous attendons un aggravation progressive de la situation le mois prochain ce qui, probablement ça va exploser juste après Noëltant pour l’intensification des contacts sociaux que pour l’eeffet combiné de la grippe et du Covid sur une population rarement vaccinée».

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17 novembre 2023 (modifié le 17 novembre 2023 | 13h12)

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