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Les Français préfèrent se souvenir que se réjouir : le paradoxe de l’attitude envers les Jeux Olympiques

Les Français préfèrent se souvenir que se réjouir : le paradoxe de l’attitude envers les Jeux Olympiques

Les français ont une préférence à se souvenir plutôt qu’à se réjouir. Cette impression se ressent lors d’une semaine de balades à Roland-Garros ou dans les rues parisiennes. Dans les affichages publics et les conversations sur les Jeux Olympiques d’été que la capitale organisera dans moins de 14 mois, rien ou presque. Toutefois, il y a une pléthore d’événements, de couvertures de magazines et de reportages télévisés consacrés au 40e anniversaire de la victoire de Yannick Noah en 1983 et aux 30 ans des premiers, et uniques dans leur sport, sacres de clubs français en Coupe d’Europe: le CSP Limoges en basket et l’Olympique de Marseille en football en 1993.

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