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Les enfants pauvres ont manqué trois millions de francs dans le canton de Vaud.

Le canton de Vaud, situé dans la région de la Suisse romande, est connu pour son dynamisme économique et sa qualité de vie exceptionnelle. Toutefois, derrière ce décor idyllique se cachent des problématiques sociales importantes, notamment la pauvreté infantile. En effet, récemment une somme astronomique de 3 millions de francs a été détournée, laissant ainsi les enfants vulnérables dans le besoin. Dans cet article, nous explorerons cette question complexe et discuterons des mesures prises pour remédier à cette situation.


Le Ministère public a requis cinq ans de prison contre un avocat sexagénaire vaudois accusé de gestion déloyale et d’abus de confiance. Il est accusé d’avoir dilapidé des sommes colossales, appartenant à une fondation de bienfaisance, dont il avait hérité de la gestion après le décès du fondateur.

Le procès s’est tenu à Lausanne, où le procureur Anton Rüsch a indiqué que le principal prévenu avait fait perdre environ 3 millions de francs à la fondation, qui était destinée aux enfants défavorisés. Selon l’accusation, le sexagénaire aurait créé une sorte de société écran pour cacher ses agissements. Il en était le patron et l’employé et ses dépenses étaient facturées à la fondation. Cela lui permettait de se verser indûment un salaire. Mais pas que. «Il en est arrivé à faire payer un loyer à la fondation, pour un appartement de luxe avec piscine qu’il occupait lui-même, alors que les locaux appartenaient à la fondation. Et il a même expliqué que, s’il s’est acheté une voiture aux frais de la fondation, c’est parce que la Mercedes AMG qu’il s’était octroyée n’était pas facile à parquer devant la BCV», a relaté le procureur.

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Les plaidoyers des avocats ont été très différents. La défense a expliqué que le gestionnaire aurait simplement suivi les consignes et la volonté du fondateur richissime, exprimées avant son décès. La fondation était très mal gérée avant l’arrivée du sexagénaire, qui aurait fait tout son possible pour la sauvegarder selon son avocat. Il a donc plaidé l’acquittement. La partie de la défense suggère que son client était innocent et qu’il était victime d’une organisation disciplinaire qui tentait de le faire tomber.

Un deuxième homme, également accusé, se trouvait sur le banc des accusés. Il a bien profité des largesses du premier, par exemple pour faire assumer à la fondation les charges de son hypothèque. Mais le Ministère public considère que sa culpabilité est moindre. Ainsi, le procureur n’a requis que 180 jours-amende (à 3000 francs le jour), avec sursis. «Jamais mon client n’a eu la volonté de nuire à la fondation ou le dessein de s’enrichir», a rétorqué son avocat, qui a présenté son client octogénaire comme quelqu’un d’honnête et de candide. Il a plaidé l’acquittement.

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Le verdict sera rendu ultérieurement.

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