<img data-attachment-id="11194" data-permalink="https://dossiermastenbroek.com/2023/01/31/voedingssupplementen-niet-langer-vergoed/pexels-photo-8844558/" data-orig-file="https://martijnmastenbroek.files.wordpress.com/2023/01/pexels-photo-8844558.jpeg" data-orig-size="1880,1253" data-comments-opened="1" data-image-meta="{"aperture":"0","credit":"","camera":"","caption":"","created_timestamp":"0","copyright":"","focal_length":"0","iso":"0","shutter_speed":"0","title":"","orientation":"0"}" data-image-title="pexels-photo-8844558.jpeg" data-image-description="" data-image-caption="

Photo de Yaroslav Shuraev op Pexels.com

” data-medium-file=”https://martijnmastenbroek.files.wordpress.com/2023/01/pexels-photo-8844558.jpeg?w=300″ data-large-file=”https://martijnmastenbroek.files .wordpress.com/2023/01/pexels-photo-8844558.jpeg?w=736″ src=”https://martijnmastenbroek.files.wordpress.com/2023/01/pexels-photo-8844558.jpeg” alt= “” class=”wp-image-11194″/>

A partir du 1er janvier de cette année, de nombreux compléments nutritionnels ne seront plus remboursés par l’assurance maladie de base. Pour les patients rénaux, ceux-ci comprennent le citrate de potassium et le citrate de magnésium. En conséquence, un grand nombre de patients menacent d’avoir des problèmes financiers, car les coûts de ces suppléments peuvent atteindre des milliers d’euros sur une base annuelle. La Fondation du rein et l’Association néerlandaise des patients rénaux (NVN) demandent l’annulation de ce programme et un programme de clémence pour combler l’écart.

« Les soins doivent être accessibles à tous. Ces médicaments sont considérés comme un « supplément », mais pour un certain groupe de patients souffrant de maladies rénales rares, il s’agit d’un traitement médical nécessaire. Réduire ou arrêter temporairement la consommation de ces suppléments n’est certainement pas une option. Le patient devient alors mortellement malade et doit alors être admis à l’hôpital. Ces coûts sont plusieurs fois plus élevés. En conséquence, il semble que l’accent ait été principalement mis sur le court terme, explique Marja Ho-Dac, directrice de NVN.

Travailler plus n’est pas une option si vous êtes malade
“Ma fille a 32 ans et souffre du syndrome Gitelman», explique Paul Steffens. “Pour cette raison, elle a besoin d’assez grandes quantités de Potassium Slow-K et de Magnésium. À partir de janvier, cela ne sera plus remboursé, de sorte que tous les frais sont désormais à votre charge. Soit un total de 2 200 € sur une base annuelle et cela n’inclut pas la franchise. C’est beaucoup d’argent pour elle. Ce n’est pas une option de prendre moins de suppléments car cela entraînera certainement une hospitalisation. Cela entraîne également des frais de santé supplémentaires. L’argent doit donc venir d’ailleurs. Elle doit maintenant réduire considérablement et n’achète que le strict nécessaire. Les beaux extras ne peuvent plus être payés. Travailler plus pour absorber l’augmentation des coûts n’est pas une option. Ma fille est facilement fatiguée à cause de son état. Elle travaille maintenant quatre jours par semaine et c’est plutôt bien.

Cela affecte toute la famille
Irene Kinds a été désagréablement surprise en janvier : « Début janvier, j’ai soudainement reçu un refus de mon assureur indiquant que le citrate de potassium n’était plus remboursé. Mon fils (13 ans) a Cystinose et ne peut plus s’en passer. Apparemment, à partir de janvier il ne sera remboursé que sous de nouvelles conditions que nous ne respectons pas. Au total, cela revient à 3 600 € par an. Ces coûts augmentent également parce que les enfants vieillissants ont besoin de plus en plus de citrate de potassium. Ce n’est pas abordable pour nous. Nous envisageons maintenant de retirer nos deux enfants des cours de sport et de musique pour réduire les coûts. On peut également se demander si un jour férié est toujours en elle. Cela affecte toute notre famille. Honnêtement, je ne sais pas comment gérer cette situation.”

Appel urgent à revoir les mesures
De toutes les histoires que le NVN reçoit, il devient clair que les conséquences financières sont immenses pour ce groupe de patients. Le fait que ces compléments nutritionnels ne soient plus remboursés a un impact financier disproportionné sur les patients insuffisants rénaux. La Fondation du rein et le NVN préconisent donc l’annulation des mesures et adressent une demande urgente aux assureurs-maladie des Pays-Bas pour qu’ils concluent un accord de clémence pour ce groupe afin de combler l’écart.